Les habitus sociaux et fantasmatiques revisités - Histoires de Sexe

Les habitus sociaux et fantasmatiques revisités

... que la Gertrude. — Hé Roger ! Regarde donc la petite pépétte qui attend là-bas !— Ah t’as raison Dédé ! Elle est pas mal la petite blonde !— Hé les gars ! venez voir la petite bourgeoise qu’attend au coin ! Nous on était contents, pour une fois qu’on pouvait se distraire un peu ! Depuis ce matin on voyait passer que des petites vieilles avec leur chienchien. Là, la petite blonde elle relevait le niveau : petit cul bien moulé dans un tailleur de bourgeoise, jolie paire de nichons dont on pouvait entrevoir le décolleté du haut de notre palissade, et une bonne petite bouche de suceuse comme on dit chez nous. Et puis alors, ce qu’était bien, c’est qu’elle restait plantée devant notre palissade à attendre je ne sais quoi. Au bout d’un quart d’heure qu’on la matait, on s’est dit qu’elle devait attendre quelque chose de nous la petite : c’était quand même pas habituel qu’une jolie minette reste plantée devant nous, juste pour le plaisir de nos yeux. C’était bien aimable mais quand même… on a pas l’habitude que les cocottes elles prennent tant d’égard pour nous autres. — Hé dis donc Roger, tu crois pas que la blondinette elle nous veut kekchose ?— Bah ma foi, c’est vrai qu’elle reste plantée là, à nous faire voir son petit cul…— Vas-y donc lui demander si elle veut qu’on fasse kekchose pour elle ! Et c’est notre brave Dédé qui descend de la palissade pour aller à l’encontre de la donzelle. À la vue du Dédé qui s’en va la rejoindre, la petite blonde elle bouge pas. Nous autres on se ...

... demande ce qu’il va lui dire et ce qu’elle va y répondre la petite. — Bonjour ma petite dame. Nous autres on a bien l’impression qu’on peut faire kekchose pour vous mais on sait pas trop quoi…— Ecoutez monsieur, vous êtes très gentil de me le proposer. Je me promenais et je n’ai pas pu m’empêcher de m’arrêter devant votre beau chantier. Pensez-vous qu’il serait possible de le visiter ?— Ah bah ça, ma petite dame, c’est vrai qu’il est beau notre chantier… Venez donc avec moi je vais vous faire visiter. Et notre Dédé à nous, il revient alors avec la petite blonde qu’a un beau cul. Nous on était contents, alors on descend de la palissade pour les accueillir. — Bonjour mademoiselle ! qu’on dit tous en même temps, agglutinés autour de la petite comme si c’était le chef de chantier qu’allait distribuer les primes.— Bonjour messieurs ! Votre collègue m’a gentiment proposé de visiter votre chantier. Ça ne vous dérange pas, j’espère ?— Ah non ma petite dame ! Qu’on répond tous en chœur. Suivez-nous on va vous faire voir les engins. Et alors nous voila partis avec la petite au milieu des pelleteuses. Ah c’est qu’elle avait l’air contente de le voir notre chantier : — Ce sont de beau engins que vous avez-là ! qu’elle disait, comme ce marteau piqueur perfore puissamment le sol ! Il doit falloir avoir des bras fort pour tout ce matériel ! Le Roger il allait retrousser sa manche pour montrer à la petite qu’elle avait raison vu qu’il avait des gros bras, mais à ce moment là… elle a glissé ...