1. Les habitus sociaux et fantasmatiques revisités


    Datte: 15/11/2017, Catégories: fh, fhhh, fplusag, jeunes, toilettes, volupté, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, revede, Oral pénétratio, humour,

    ... sur une flaque de boue ! Forcément, les escarpins c’est pas fait pour les chantier, ça faut pas avoir fait des études pour le savoir. Du coup la jeune fille s’était retrouvée à quatre pattes, le nez dans une marre de boue. Notez ça lui allait bien comme position, avec les fesses en l’air. Elle était bien cambrée, comme quand on prend bobonne par derrière. Vu qu’elle avait de la boue sur tout le visage, elle y voyait pas grand-chose la pauvrette et elle tâtonnait tant bien que mal autour d’elle pour trouver une prise qui l’aiderait à se relever. Et vu que nous autres on commençait à avoir le bâton à force de regarder ses petites fesses, c’est plutôt les bosses de nos pantalons qu’elle a trouvés comme appui. Elle touchait, elle touchait mais elle arrivait pas à se relever ! Bon quand même, au bout de cinq minutes, en bon samaritain, Roger il lui a mis son bras en travers des jambes et il l’a soulevée fermement pour nous la dépatouiller de sa marre de boue. La petite était complètement enduite, son petit tailleur tout collé par la boue. On aurai dit les bustes qu’on voit dans les musés de la ville. Nous autres on avait pas l’habitude d’en voir des œuvres alors là, forcement, c’était émouvant. Et puis c’était vachement émouvant aussi parce que la petite œuvre elle pleurait à cause de son tailleur qu’était tout sale. Nous autres on est p’têt ouvriers du bâtiment mais quand même on a un cœur. — Pleurez-pas ma petite demoiselle, qu’il lui dit Roger.— Mais mon tailleur est tout ...
    ... sale, comment est-ce que je vais rentrer chez moi ?— Venez, on va vous nettoyer tout ça dans notre cabine, et puis si on arrive pas à réparer les dégâts on vous mettra un t-shirt à nous sur le dos. Alors nous voila tous partis vers la cabine avec la petite dans les bras. On était tellement émus que la blondinette soit tristounette, on avait tous à moitié le gourdin. Y avait une ambiance différente de d’habitude sur le chantier, plus personne faisait de blagues. On a délicatement posé la petite sur la table au milieu du mess et puis on lui a délicatement enlevé son petit tailleur. Quand elle s’est retrouvée en petite culotte sur sa table on est allés essayer de laver ses vêtements à la petite, pendant que Roger il cherchait dans nos vestiaires si y avait pas un t-shirt qu’était un peu propre pour la petite. Quant on a fini on est retournés autour de la table où la petite était assise en tailleur. — Vous avez vraiment été trop gentils avec moi messieurs, je ne sais comment vous remercier…— Oh bah c’est rien, ma petite demoiselle, nous autres on est tristes quand on voit une mignonnette comme vous qui a le cafard. Toute cette gentillesse et ces remerciements dans le mess ça faisait vraiment beaucoup d’émotion. Nous autres on avait une sacrée trique et la petite princesse elle avait les bouts des seins tout durs. En plus vu le nombre qu’on était dans cette petite baraque il faisait plutôt chaud. Ça faisait bizarre : comme quand on embrasse sa première jeune fille, on a la tête qui ...
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