1. Les habitus sociaux et fantasmatiques revisités


    Datte: 15/11/2017, Catégories: fh, fhhh, fplusag, jeunes, toilettes, volupté, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, revede, Oral pénétratio, humour,

    ... tourne un peu, on sait pas trop où qu’est-ce qu’on est, ni qu’est-ce qu’on pense, on est juste bien. La petite elle devait avoir la même impression que nous, vu qu’elle a dit : — Venez me faire un gros câlin mes nounours ! Alors on s’est mis autour d’elle et on l’a tous caressée. Elle avait la peau douce, avec nos grandes mains on avait peur de l’abîmer rien que de la toucher. On l’embrassait, on la cajolait. Elle était couverte de mains la petite, et elle s’abandonnait langoureusement. Doucement on a enlevé sa culotte, découvrant son joli minou bien taillé. Il était beau son minou… il brillait… quelques gouttes s’échappaient de temps à autres et allaient se perdre entre la raie de ses fesses. Il y avait la lumière blanche du matin qui filtrait à travers les bâches des fenêtres et qui venait faire scintiller son petit minou et ses jolis yeux. Nous autres on était pas allés beaucoup au catéchisme mais on savait que c’était de ça qu’il parlait le curé quand il disait qu’au paradis nous ne trouverions qu’amour, beauté et béatitude. Même le Roger, qui le connaissait pourtant pas ce mot "béatitude", il a dit à la petite que la beauté qui en émanait le troublait au plus profond de son être et le tranquillisait. C’est dire. Et puis, la petite : — Je suis prête, prenez-moi, qu’elle a demandé. Alors on a délicatement mis notre petit lot au bord de la table et chacun notre tour on l’a possédée. C’était beau. On glissait en elle comme si on avait mis le lubrifiant à tractopelle. À ...
    ... chaque aller et retour elle poussait un petit "ah !". Et puis, quand ça a été le tour du quatrième d’entre nous, elle a commencé à faire des "Ah !" plus fort, et quand finalement Roger l’a pénétrée elle a fermé ses yeux et elle s’est cambrée en feulant : "AaaAaah… aaaAAAHhhh… aaaaaaAAAAAAAHHHHHHHH !!!" qu’elle faisait. Nous autres on pleurait tellement c’était beau. On était jamais allés à l’opéra mais à coup sûr ça devait être avec ce timbre de voix qu’elles chantent les dames d’opéra. Cette bande de couillons d’ouvriers avaient l’air émus derrière leur balustrade. Je comprends qu’elle soit pas mal Jeanne… mais enfin, quand même, s’ils arrêtent de bosser à la première fille qui passe, ils sont pas près de le finir leur immeuble. Bon, il allait pas falloir qu’on reste là à attendre trop longtemps, sinon la crise de l’immobilier allait repartir. — Excuse-moi du retard Jeanne… on y va ?— Ouais, c’est ça. Et nous voilà partis au salon du stage. A l’intérieur une trentaine de stands bien alignés. Il y a un petit peu de tout. Il va falloir me montrer convaincant pour vendre ma motivation et mes compétences à ces entreprises. Je demande à Jeanne si elle veut qu’on aille voir un stand ensemble. Elle répond pas. Visiblement elle fait encore la gueule. Je la regarde s’éloigner vers le stand d’une boîte d’experts-comptables. C’est agréable de la regarder s’éloigner. Les filles ne mettent pas assez souvent des jupes. Je suis curieux de savoir ce qu’elle va raconter au responsable RH. Va ...
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