1. Les habitus sociaux et fantasmatiques revisités


    Datte: 15/11/2017, Catégories: fh, fhhh, fplusag, jeunes, toilettes, volupté, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, revede, Oral pénétratio, humour,

    ... quoi allez-vous nous servir ?— Eh bien je pourrai… hein ? A ce moment-là, je sens un truc remonter le long de ma jambe… un escarpin de DRH ! — Excusez-moi mais …— Ecoutez jeune homme, je veux bien envisager de faire quelque chose pour vous, mais il faudra faire quelque chose pour moi.— Ah ? Et quoi ?— Rejoignez-moi donc aux toilettes, que je vous explique. Je reste penaud. Elle se lève et se dirige vers le fond du salon. Je me lève à mon tour et me dirige, hagard, vers les toilettes. Je croise Jeanne qui accumule les offres de stage. Et pas la moindre trace d’effort physique sur son visage. Je pense encore à l’état de la condition de l’homme quand j’arrive dans les toilettes… Ma DRH est là, cigarette au bec. Elle me fait signe d’entrer dans une cabine. Elle ferme le loquet. Passe une main sur mon entrejambe, me donne une capote et se retourne face au mur. Elle se cambre, les jambes légèrement écartées. Je passe mes mains le long de ses bas, des chevilles aux fesses. Au passage je remonte sa jupe dévoilant une culotte de soie sertie d’un porte-jarretelles en dentelle. Là, je me dis que les mecs ont quand même un avantage par rapport aux nanas : il en faut peu pour qu’ils aient envie de baiser. Ma DRH un peu vieux jeu devient tout à coup une "bourgeoise lubrique" -se référer à la presse pour ouvriers du bâtiment. J’enfile la capote, baisse la culotte de soie de quelques centimètres (un porte-jarretelles c’est quand même pas pratique pour enlever une culotte !) et pénètre ...
    ... dans le con de ma DRH. La quadra pousse un soupir de satisfaction. Ah, elle en voulait de la compétence ? Eh bien elle va être servie ! Je commence à pilonner le fessier qui m’est offert, faisant claquer la paire de talons hauts sur le carrelage. Je commence à me laisser aller à un verbiage adapté à la situation et lance un puissant : — T’aime ça, salope de bourgeoise ?! Je sens alors le vagin de ma DRH se resserrer. Ah, ça doit lui plaire de s’en prendre plein le popotin… Mais à mon étonnement elle retire son vagin des assauts de mon puissant destrier et se retourne sur un : — T’as dit quoi là le stagiaire ?— Euh bah, euh…— T’as pas l’impression de te laisser un peu trop aller à la vulgarité ?— Mais…— Allez range ton engin, je vais t’apprendre la vie professionnelle : à genoux ! Je vois pas bien où elle veut en venir. Je recule jusqu’à me retrouver sur les fesses, bloqué par la porte des toilettes. Elle, apparemment, elle sait où elle veut en venir. Elle me colle le visage contre sa fente, dont l’épilation, entre nous soit dit, ne répond pas à la tendance moderne… Me voilà donc à laper une DRH dans des toilettes publiques. Ah la la… le fonctionnement de la supériorité professionnelle des hommes reste à préciser. Vingt minutes plus tard, après trois orgasmes, repue, ma DRH consent à prendre mon CV. Dehors, je retrouve Jeanne. — Ça a été ? que je lui demande.— Ouais pas mal, j’ai eu trois offres fermes… qu’elle me répond. Dépité, je m’éloigne. « Joli petit cul », pense Jeanne. 
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