1. Une onde


    Datte: 22/08/2021, Catégories: fh, fplusag, noculotte, Oral hsoumisaf,

    Je ne sais si vous me croirez ou non, et peu importe ; mais cette histoire est rigoureusement vraie. Elle a eu lieu il y a presque 20 ans. Je m’appelle François, j’ai 26 ans, je suis avocat. Je me destinais à la magistrature mais je n’ai pas réussi le prestigieux concours d’entrée à l’école de Bordeaux. Venant de la bourgeoisie nantaise et m’étant donc exilé à Bordeaux pour ce fichu concours, j’avais décidé d’intégrer un cabinet d’avocats le plus éloigné de ma famille et qui pourrait avoir autant de prestige que Bordeaux. Je me suis donc installé à Paris. Pendant trois mois j’ai tenté de trouver un poste par mes propres moyens, mais ce fut un échec. Je ne connaissais personne. Mon frère, en revanche, connaissait du monde. Notamment une de ses ex, Amélie D., qui avait ouvert son cabinet. Je postulai et obtins le poste ; il s’agissait d’un petit cabinet spécialisé en droit pénal. Nous n’étions que deux avocats, avec deux secrétaires, dont une à mi-temps pour limiter les frais. Amélie avait dix ans de plus que moi ; elle était fine, les cheveux bouclés blonds et le regard azur. Des lunettes rondes terminaient d’habiller sa peau dorée couverte de taches de rousseur. C’était une femme gaie, gentille, sportive et célibataire ; elle adorait la couleur jaune et prenait soin de toujours en mettre une touche sur elle, y compris sur son téléphone d’un jaune étincelant, qui faisait un peu trop à mon goût et dont je me moquais. Entre son travail et le sport, elle n’était pas disponible ...
    ... pour un homme, selon elle. Pire, le sport était tellement dans sa vie que le moindre kilo de trop la faisait disparaître et augmenter ses séances en salle de musculation. Nous avions chacun nos clients et nous nous retrouvions sur les dossiers les plus gros. Je n’avais pas encore une clientèle étoffée mais j’y travaillais. À cela et à rencontrer une femme. Je m’étais pour cela inscrit sur un site de rencontres mais je ne parvenais pas à savoir la femme qu’il me fallait. De fait, je papillonnais pour mon plaisir et avais un carnet d’adresses toujours disponible à tout moment. Amélie et moi passions beaucoup de temps dans le cabinet, et de fait je commençais à l’apprécier ; cependant, elle était plus âgée, et de surcroît elle avait eu une histoire avec mon frère. Je ne me voyais pas la courtiser, d’autant que je préférais les femmes ayant de fortes poitrines et qu’elle en était quasi dépourvue. Au bout de quelques mois, Amélie est devenue distante alors qu’elle se rapprochait de moi ; nous ne nous voyions plus qu’à de rares occasions et entre deux rendez-vous. Seules les secrétaires me donnaient de ses nouvelles, et même des instructions sur les dossiers que nous avions en commun. Je partageais donc plus de moments avec Martine, secrétaire titulaire de son état, la cinquantaine, assez pulpeuse. Elle était assez grande et portait donc bien ses rondeurs ; sa chevelure, blonde elle aussi, couvrait ses épaules. Toujours apprêtée en tailleur, elle n’utilisait que peu de maquillage. Je ...
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