Une onde
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
noculotte,
Oral
hsoumisaf,
... m’aventurais souvent à regarder ses décolletés fort généreux et ses mollets selon qu’elle entrait dans mon bureau ou qu’elle en sortait. En revanche, je m’abstenais durant nos têtes-à-têtes lorsqu’elle me donnait les instructions d’Amélie, d’une part par respect, et surtout parce que j’avais même du mal à la regarder dans les yeux, que je baissais toujours inconsciemment malgré mon statut de patron. Un soir, au bout de presque 6 mois, Martine entra dans mon bureau et déposa un dossier puis attendit en me fixant. Je la remarquai mais n’osai pas lever les yeux vers elle et l’interroger. Cela dura quelques minutes. J’étais pétrifié. Je ne savais pas quoi faire. Elle fit cesser le silence. — Votre agenda est à jour ?— Euh… oui, je pense.— Vérifiez. Et on dit « Oui Martine », dit-elle sèchement. Je constatai la présence d’un rendez-vous à 19 h 30 avec réservation dans un restaurant. Tout en me disant que j’étais son patron et qu’elle ne devrait pas me parler de la sorte. Mais ce rendez-vous m’interpella. — Ah non, il y a une réservation à…— Oui, c’est moi qui l’ai prise : vous m’invitez.— Euh…— Quoi ? Vous ne voulez pas ? dit-elle en me toisant. Regardez-moi quand je vous parle. Alors ?— Je…— On dit « Volontiers, Martine, Merci Martine ». Très bien attendez-moi vers 19 h 30 devant votre voiture, j’ai encore à faire. Elle sortit du bureau. Sans un regard. J’étais pourpre ; je ne savais pas quoi faire ni pourquoi j’avais accepté. En fait, j’avais des bouffées de chaleur ; jamais ...
... une femme ne m’avait parlé ainsi, j’étais dérouté et excité. Mon cœur faisait un solo de batterie à double pédale sur la grosse caisse… Je ne parvenais pas à réfléchir. Que faire ? Vers 19 h 20 je descendis dans le parking et m’installai dans ma voiture. Rester, ou fuir et faire comme si de rien n’était ? Avant de prendre une décision, je la vis sortir de l’ascenseur et se diriger vers la voiture dont je descendis pour aller à sa rencontre et discuter de cette situation. — J’ai cru que tu n’allais pas en sortir. Et tu es à l’heure : c’est très bien, je n’aime pas attendre. J’ai souri malgré moi, heureux qu’elle me félicite. Je ne comprenais rien. — En revanche… c’est moi qui dois ouvrir la portière ? Je me précipitai pour l’ouvrir. Elle entra sans me regarder et sans rien dire. Je démarrai et me dirigeai vers l’adresse du restaurant que je connaissais de nom. — Tu connais l’adresse ?— Oui, je…— « Oui Martine ». Je n’ai pas besoin de détails. Mets de la musique et laisse-moi décompresser. Je conduisais sans me presser, ne voulant pas recevoir de réprimande ; je voulais être parfait et qu’elle me complimente sur ma manière une nouvelle fois. Son parfum était partout dans l’habitacle et me tournait la tête. Je savais que le restaurant avait un service de voiturier, et l’espace d’un instant j’ai pensé ne pas l’utiliser et nous faire marcher un peu ; mais comme un amoureux transi, je voulais faire bonne impression. Arrivés devant le restaurant, le voiturier ouvrit la portière de ...