Une onde
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
noculotte,
Oral
hsoumisaf,
... plaisir à sentir ses odeurs intimes, sentir apparaître l’humidité et la moiteur de son intimité. J’aimais son goût, j’appréciais cette féminité et cette force. Elle ne me forçait pas : j’avais sans y penser accepté qu’elle dirige tout. Je n’avais pas envie de me rebeller, je me sentais libre comme jamais. Tout était sous contrôle, et si je me posais des questions, désormais à genoux, mon visage enfoui dans son sexe, j’avais mes réponses. Elle. Quelle que soit la question, la réponse était « elle ». Elle serait le début et la fin. Je n’aurais plus de doutes grâce à elle. Ma langue s’enfonçait, léchant les parois internes de ses lèvres ; j’excitais son clitoris que j’essayais de sucer comme un petit pénis, mais il était trop petit. — Stop ! Elle me repoussa de son pied, rabaissa sa jupe et remit ses chaussures. Puis elle mit la main dans la poche de sa veste et en sortit une pièce de dentelle bleue qu’elle jeta sur moi. — C’est un string ; ça se lave à la main dans de l’eau froide, et ça doit être propre et plié demain dans le tiroir droit de mon bureau. À demain. Elle partit sans attendre ni réponse, ni question. Je n’ai pas dormi cette nuit-là. J’étais comme amoureux. Mais l’était-elle ? Quelles seraient nos relations désormais ? Elle était partie, et les questions revenaient. Il fallait qu’elle revienne avec ses réponses. Je nettoyai son string qu’elle avait dû ôter après le repas dans les toilettes du restaurant. Je le fis sécher sur un radiateur, et au matin je le ...
... pliai. J’arrivai avec une demi-heure d’avance, sachant que je serais le premier. Je plaçai le string à l’endroit indiqué. Puis j’accédai à mon bureau et commençai à travailler en espérant ne pas penser à la soirée, à elle et à ce qui allait advenir de moi. Amélie arriva la première ; nous nous saluâmes, puis vint Martine. — Bonjour, Maître.— Bonjour Martine, répondit Amélie ; vous ferez les copies des dossiers M. et G. ; il me les faut avant 11 heures.— Sans problème. Dois-je annuler le rendez-vous de cet après-midi dans ce cas ?— Non, j’aviserai.— Avez-vous besoin de moi ? me lança-t-elle.— Non, non merci, Martine. Elle se retourna et reprit son travail. Je ne la vis plus de la journée. Je ne savais plus où j’étais ; jamais une femme n’avait occupé mon esprit de la sorte. J’espérais qu’elle viendrait dans mon bureau, ce qu’elle fit à 16 heures. — Voulez-vous des cookies ? me proposa-t-elle en entrant.— Non merci, Martine.— C’est bien ; il ne faut pas faire d’écart. Ton téléphone.— Mon… quoi ? Elle fronça les sourcils et tourna les talons pour sortir. — Le voilà. Excusez-moi, Martine. Elle alla fermer la porte puis revint. — Non. Donne. Quel est le code ? 0000 ou 1234 ?— 0000.— Bien sûr… Je vais le changer. Mais voyons sur quoi tu surfes. Un site de rencontres ? Tu es abonné ?— Oui, Martine. Elle me tendit le téléphone. — Suspends ton compte maintenant.— Je… Oui, Martine. Je suspendis mon abonnement, puis je lui représentai le téléphone une nouvelle fois. Elle le prit et chercha ...