1. Amant d'un soir (2)


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Divers,

    ... vieux jean rapiécé. Et moi, comme une conne debout sans trop savoir quoi dire, ni faire. — Entre ! Ne reste pas sur le pas de la porte ! Viens au salon ! Là ! C’est bien ! Assieds-toi sur le divan ! Tu veux… prendre un verre ? — Oui si ça ne te fait rien ! Quelque chose de fort ! — Une vodka c’est ce que j’ai de plus fort ! — Ça ira bien ! Va pour une vodka ! Pure ! Sans rien dedans ! Il vient de me servir mon verre et nous trinquons. Il ne dit rien, digérant, comme moi, ma présence chez lui à cette heure tardive. Je lui sais gré de ne poser aucune question. Je pose mon verre sur la table basse et je le regarde, puis d’un seul élan, je me jette à son cou. Les larmes qui ruissellent sur mes joues parlent d’elles-mêmes. Je cherche sa bouche, je me perds dans un baiser que je veux, passionné. Nous roulons l’un sur l’autre dans une étreinte fougueuse. Ses mains me touchent partout à la fois. C’est une avalanche de caresses. Elles finissent par atterrir sur mes seins encore sous le tissu du chemisier et du soutien-gorge. Ces quelques nippes s’envolent bien vite alors que nos lèvres restent soudées, rivées les unes aux autres et que nos langues se lancent dans des slows ingénieux. Est-ce moi… ou lui qui a retiré sa chemise ? Peu importe, elle gît désormais aux côtés de mes fripes personnelles, abandonnées à la hâte. Le canapé n’est plus assez large pour accueillir nos ébats et nous roulons sur la moquette épaisse du salon. Je n’ai plus qu’une envie, celle de cueillir ce pistil ...
    ... que mes doigts effleurent. C’est rapidement chose faite et ma main se referme sur cette queue tendue, qui n’espère plus que mon ventre humide. Je veux goûter le plaisir de la toucher, avant de la lécher lentement et mon cœur s’affole de plus en plus. Je palpe ces bourses qui sont douces au toucher, je suce un gland qui m’attire par son luisant velours. Fréderic a écarté mes cuisses, impatient d’arriver à cette fourche qu’il cherche entre mes jambes, impatient d’y plonger son visage. Quand il y parvient, je me sens femme jusqu’au bout des ongles, je les ouvre le plus possible, alors que ma bouche gobe la bite qui frémit au contact de ma langue. Dans cette ruée vers le plaisir, j’en oublie tout ce qui m’entoure, mais au fond de moi cette lueur que ce n’est pas toi qui me caresses et que c’est un autre que je frôle, me donne mauvaise conscience. Je me surprends à faire des comparaisons entre vos deux manières de faire. Lui a la fougue de la première fois, mais toi tu me donnes la tranquille assurance des années de pratiques sur mon corps. Qu’est ce que je préfère ? Ton expérience ou sa vitalité dans la découverte ? Je me dis que les deux sont bonnes, mais je vais sans doute avoir des choix à faire. J’aimerais vous garder les deux ! Mais cela ne me paraît guère possible. Je t’aime Michel et de ça j’en suis certaine, mais je l’aime aussi, d’une autre manière. Bien entendu je ne peux pas imaginer une cohabitation pacifique entre vous. Je suis maintenant montée sur lui, ma chatte se ...
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