1. La Muse (13)


    Datte: 24/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Mr Georges, l’artiste et la muse J’ai plein de linge à laver ; il va falloir que je trouve une solution pour ne pas passer mes jours de repos à faire la lessive, d’autant que ce n’est pas ma tasse de thé. Cécile est passée à la maison dans l’après-midi ; je voulais tout lui raconter, et surtout, j’avais un plan pour me venger de Rémi. Nous avons bu un café et je lui ai dévoilé mon plan. Cécile était d’accord pour m’aider, mais devait demander à sa patronne. Le but était de débusquer Caro – que je ne connaissais pas – en la faisant venir au salon. Le moyen ? J’imaginais une promo comme certaines parfumeries ou bijouteries le font : la cliente reçoit un texto et doit se présenter avec le code joint pour gagner quelque chose. Pour nous, elle gagnerait une manucure gratuite (Cécile a plein d’échantillons gratuits). Le lendemain, Cécile m’appelle : — Jen ! C’est Cé. J’ai une bonne nouvelle : ma patronne est d’accord pour le coup du texto. — Super ! — Bon, il va falloir que je te paye le resto… — Ah bon ? Pourquoi ? — Elle a trouvé l’idée tellement géniale qu’elle va l’appliquer au salon, et elle m’a filé une prime pour l’idée. Mais t’inquiète pas, j’ai dit que c’était notre idée et elle va te faire un cadeau. Notre plan était prêt. Nous avions rédigé un texto qui disait ceci : « Bonjour ! Vous venez de gagner un soin manucure GRATUIT au salon Palais des Sens. Prenez rendez-vous avec le code « Cécile » à ce même numéro, et nous aurons le plaisir de vous faire découvrir nos ...
    ... services. Passé sept jours, ce bon ne sera plus valable. » Le texto était parti du portable de Cécile au cas où Caro connaisse mon numéro ; il ne restait plus qu’à attendre. Quand je repris le boulot, à cause de mon sac hyper chargé, Francis me demanda si je déménageais. Je lui expliquai mon problème de linge car il me fallait une, voire deux tenues par jour et que le pressing était trop cher. Je me suis presque fait traiter de gourde car j’aurais dû lui en parler. Il m’ordonna de mettre mon linge dans un sac ; sa sœur tenait un pressing qui traitait le linge du bistrot. Quelle aubaine ! Plus de linge à m’occuper. Déjà deux jours, et Caro n’avait toujours pas appelé Cécile. Je trouvais le temps long. Que foutait-elle ? J’étais de plus en plus fascinée par monsieur Georges, jusqu’au jour où il me demanda si je voulais bien parler un peu avec lui ; Francis était d’accord. Je me suis installée à la table de monsieur Georges et fus servie par le patron, s’il vous plaît ! L’artiste me demanda, avec une grosse pointe d’humour et un clin d’œil complice : — Et pour mademoiselle Jennifer, ce sera un Coca je suppose ? — Vous supposez bien, Francis, merci. Monsieur Georges prit la relève et me fit une proposition qui, sur le coup, a bien faillit me faire bondir de joie. Je cite le dialogue : — Mademoiselle Jennifer, Francis m’a parlé de vous et je serais très honoré de vous aider dans vos débuts ; mais pour cela, il faudrait que vous me disiez ce que vous souhaitez faire. Prise au dépourvu, je ...
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