1. Carole W.


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, Oral pénétratio, confession,

    ... frites dans la mayonnaise épaisse barbouillée en haut de mon assiette pour parler de mon cas, ce qui me prend entre cinq et dix minutes. Carole m’a bien écouté, le regard droit dans le mien, et la vieille (je trouve vraiment qu’elle est vieille bien qu’elle n’ait que cinquante ans, peut-être à cause de sa peau desséchée !) n’a pas arrêté de basculer son regard entre moi et Carole. J’avais amené tout mon dossier dans une enveloppe, mais Jacques m’a conseillé de ne pas me précipiter. Elle me demande alors de passer la voir demain à son bureau. Au dessert, elle me donne sa carte de visite. --oooOOOOooo-- Le lendemain, je vais la voir au siège de son cabinet dans la banlieue sud de Paris. Après avoir téléphoné, une jeune assistante d’accueil m’indique son bureau. Je frappe à la porte et j’entre, je suis accueilli par ses grands yeux verts. Elle est assise derrière un bureau métallique, dans une grande salle lumineuse. Elle se lève en souriant, fait le tour du bureau puis vient me serrer la main. Me tirant d’une main tendre et humide – certainement saturée de crème adoucissante – elle m’emmène vers deux petits fauteuils dans un coin de la salle, il y a aussi une petite table basse en verre moulé. Carole porte un ensemble veste et jupe en vert pistache, et un chemisier mauve légèrement miroitant. On se met face à face, je n’arrive plus à quitter des yeux sa peau délicate et ses lèvres tendres et pulpeuses. Elle me dit d’une voix douce : — Comment allez-vous ?— Très bien… oui… ...
    ... très bien, lui dis-je avec hésitation en lui remettant l’enveloppe dans laquelle j’ai rassemblé les pièces de mon dossier. Elle prend l’enveloppe par ses longs doigts effilés, lisses et décontractés, puis la met sur la table. Son geste est tellement élégant que j’ai cru bon de m’éclaircir la gorge pour cacher mon désarroi. — Tu bois quelque chose ? un café ? me dit-elle.— Oui, un café, ce sera parfait. Elle se relève et revient à son bureau à pas lents, démarche chaloupée, là elle tire le téléphone tout en se penchant légèrement en avant, elle me donne le temps d’admirer les courbes éclatantes de son derrière. À mi-voix, elle demande deux cafés. Je n’ai pas cessé de regarder son fessier serré, tellement harmonieux, et lorsqu’elle se retourne nos yeux se rencontrent un instant, échangeant une étincelle. Elle revient vers moi avec un léger sourire et s’assoit en croisant les jambes. — J’ai eu Jacques ce matin, et il m’a encore parlé de vous. Il vous apprécie énormément, il m’a dit que je ne prends aucun risque avec vous.— Je l’espère bien… si nous arrivons à coopérer.— Je n’ai aucun doute. Vous me laissez quelques semaines pour étudier le dossier.— Vous ne pouvez pas faire mieux ? lui dis-je, légèrement sur les nerfs.— Oui, me dit-elle en riant avec éclat, je vois que c’est très important pour vous… Allons, disons deux semaines, je peux difficilement faire mieux. L’assistante arrive avec les cafés sur un petit plateau en imitation nacre, puis elle s’en va en fermant la porte. Je ...
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