1. La soirée d'entreprise


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... manège infernal, c’est tellement bon que le point de non-retour est très rapidement atteint, ma volonté est brisée, seul le plaisir subsiste. La fermeture éclair, en grinçant, trouble la brume de mon cerveau. La main effilée s’infiltre dans l’espace, elle tâte le tissu du boxer, attrape la hampe et la caresse, lentement. Les dix doigts s’affairent maintenant sur la boucle de ma ceinture, décrochent le fermoir et laissent choir le pantalon, il glisse jusqu’aux genoux. Fébrilement les doigts inquisiteurs écartent l’élastique du boxer et, dans un soupir, elle dégage la verge déjà grosse. Avec élégance, une main dessous pour le maintien, une dessus pour la caresse, le vit se redresse encore. Comme dans un rêve, la bouche aux lèvres vermillon, s’approche du gland. Une langue rose, infiniment charnelle, lèche le méat et peint la peau douce en une couleur érotique. Les lèvres seules enserrent avec douceur la tige dans sa longueur en petites touches légères. Un ajustement de position fait pointer la verge devant la bouche, la queue entre sans frapper, au ralenti, comme un train dans un tunnel. Une main s’aventure vers les testicules, les soupèse, les bouscule, puis avance le long de la raie des fesses, frôle l’anus, revient, cherche son ...
    ... chemin. Les autres doigts enserrent fermement la verge, la vissant et la dévissant pour mieux l’ajuster entre les joues et le palais. Le ballet infernal, répétant presque à l’infini, le va-et-vient profond, de moins en moins contrôlé, de plus en plus bestial. Cette verge gluante, ces mains agiles, accompagnées de bruits de succion, d’onomatopées incongrues, augmentent encore l’excitation. Le feu d’artifice termine ce spectacle sons-lumières-sensations-odeurs par une éjaculation au fond de la gorge en un bouquet de sperme aux différentes saveurs, sucré, salé, poivré, pimenté. Marie-Pierre avale bravement la sauce, se lèche les babines et déclare, la bouche encore pleine : — Ça fait un bon moment que j’en rêve. Ta verge m’accompagne dans mon imagination, me hante dans mes masturbations, me poursuit dans mes pénétrations, chaque jour depuis la fameuse soirée. Cette nuit-là, je suis tombée amoureuse de ta hampe, sa longueur, sa vigueur, son diamètre, sa courbure, et maintenant son goût, pour moi, elle est parfaite. Ma secrétaire me regarde avec gratitude, se lève de son siège, dépose un baiser étonnamment chaste sur ma joue, me laisse dans cette tenue indécente, queue flasque à l’air et s’en va, me souhaitant une bonne nuit. À suivre 
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