1. Une passe ? Je trépasse.


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, hh, hplusag, prost, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, confession, humour,

    ... contre moi en particulier, mais qu’elle se méfie quand même. Je farfouille fébrilement dans mes poches et extirpe trois billets froissés… ma quasi paye de bidasse ! Trois mois de galère offerts d’un coup dans l’espoir d’une extase passagère… (et je sais que nul assureur ne se hasarderait à garantir une telle entreprise !) Qui me dit qu’elle va honorer son contrat et me laisser l’honorer, elle, comme j’en ai envie ? Les billets se couchent voluptueusement dans un petit coffret à bijoux… choux, cailloux, genoux… cadenassé. Trop tard pour revenir en arrière. Voulez-vous, maître Jacques, comme dans la chanson, avoir quelques nouvelles de ma plume à ce moment précis du paiement ? Eh bien, ma plume, enfermée dans le tissu d’un caleçon – logiquement – poisseux, aurait été bien en peine de participer à l’envol de n’importe quel oiseau, fut-il serin, colibri ou oiseau-mouche ! Elle est en berne, ma plume… et le devient plus encore lorsque Cynthia, m’ordonne –c’est comme ça que je l’ai pris, en tout cas – d’aller me la laver… proposant même de m’y aider si je le désirais (et cela sans supplément !). Je lui ai répondu, « Merci, sans façon ! » : je n’étais pas demeuré au point d’avoir besoin d’une nurse pour me pomponner le zigouigoui ! Vu l’état de celui-ci, il y avait de toute façon, peu à récurer… « Allez, petite chose fripée, vite, viens te faire bouchonner ! ». Après m’être désapé promptement, j’ai rejoint le lavabo en cachant avec un naturel que vous imaginez, mon petit truc, ...
    ... et l’ai ablutionné (honnêtement, je ne peux dire « ablutionner mon membre »… ce serait par trop orgueilleux). Mais tout en ablutionnant, j’ai jeté un coup d’œil discret (!) vers Cynthia, accroupie au-dessus du bidet. Elle avait retiré sa jupe… forcément portefeuille, la vénale, une jupe grise plissée sur le devant qui avait moulé à ravir son bassin que je vois nu désormais au-dessus de l’autre bassin, celui des ablutions. Sa main enfouie entre ses cuisses procède à un lavement en profondeur que je trouve des plus décourageants… Seuls, les bas noirs et le porte-jarretelles auraient pouvoir de m’émoustiller… Le robinet vomit son eau sur l’émail blanc, la chair est lavée sans état d’âme… hygiène gynécologique, les gestes sont précis, usinés ; je ne vois pas son visage penché, ni le reste d’ailleurs, et c’est sans doute tant mieux. Déjà que mon bigorneau est tout recroquevillé… si ça continue, il me faudra trois mois pour le faire sortir de sa coquille ! Pour une première, c’est réussi ! Eh ! Oui… je suis encore puceau à cet instant précis. Mais, foi de veau qu’on a mené à l’abattoir, dans quelques minutes, je sortirai vainqueur de cette malédiction… À cet effet, je convoque en fermant les yeux, des images susceptibles de réactiver mes désirs… un peu comme lorsque je gravissais la montagne glacée en compagnie de mes Brigitte fantasmées. Je rêve Cynthia marchant pieds nus sur le sable d’une plage bretonne avec le vent qui plaque sa jupe contre ses cuisses, moule sa silhouette de ...
«1234...11»