Infidélité au travail (2)
Datte: 25/08/2021,
Catégories:
Erotique,
... Celle que tes yeux et ton sourire désirent m’offrir lorsqu’ils se posent sur moi. — Wouah c’est très beau ! Un sourire étira mes lèvres, même si cela ne m’en apprenait pas plus sur ses désirs. — Tu dois savoir que je ne suis pas seul. — Moi non plus * clin d’œil * — Comment fait-on dans ce cas ? — On reste discrets. — D’accord, pas de messages en dehors des heures de boulot. — Ok ça marche. La pause terminée, je rangeai mon portable dans mon sac que je plaçais dans le casier et me rendis à mon poste de travail, le sourire aux lèvres. Les deux heures suivantes passèrent rapidement, la cadence intense sur la ligne m’empêchant de penser à quoi que ce soit. La seconde pause de trente minutes nous permit de discuter plus longtemps. — J’ai envie de te sentir, dit-il. « Me sentir, mais de quelle façon ? » Me demandai-je. « Respirer mon parfum ? Sentir ma peau contre la sienne ? Sentir la douceur de mon vagin en me caressant ou me pénétrant ? » Mon corps s’enflamma alors que j’imaginais tout cela à la fois. — J’ai envie d’être dans tes bras et de t’embrasser, répondis-je. Comme le temps s’égrenait sans que je ne reçoive de réponse, j’ajoutai : — J’ai aussi envie de respirer ton parfum et de sentir ta peau contre la mienne. — Humm. — Je suis libre cet après-midi, ça te dirait d’aller boire un verre ou plus ? — Je ne suis pas libre aujourd’hui, mais demain. — J’aurais adoré, mais je ne pourrais pas t’inviter chez moi. Il faudra qu’on se trouve un coin tranquille. — Non, à la sortie ...
... de treize heures. Ça sera court. — D’accord. Mon message croisa le sien : — On peut se voir demain matin avant le travail. — D’accord. Le cariste me donna rendez-vous à l’église dans une ville voisine qui m’était inconnue. D’abord étonnée, je me demandais s’il souhaitait me faire repentir de mes péchés – à genoux à ses pieds – ou bien me prendre contre le mur extérieur. S’il s’agissait de son fantasme, je préférais qu’il s’agisse d’une église plutôt que d’un cimetière, surtout en pleine nuit. L’originalité du lieu pour un premier rendez-vous me fit sourire. Je lui transmis une heure de rendez-vous qui me sera pratique pour ne pas éveiller les soupçons de mon mari. Cela m’obligerait à partir de chez moi un quart d’heure plus tôt, sans avoir déjeuner. C’était plus discret que d’avancer la sonnerie de mon réveil. ******* Nerveuse à l’idée de ce rendez-vous, je n’avais pratiquement pas dormi de la nuit. Comme d’habitude, lorsque je commençais à travailler à cinq heures du matin, mon réveil sonna à trois heures. J’embrassai mon mari, allongé à mes côtés, sortis silencieusement de la chambre en emportant mes lunettes de vue et mon portable. Je m’habillais rapidement dans le salon à la lumière tamisée d’une lampe assez grosse disposée sur le secrétaire. J’avais choisis de porter un jean bleu marine, retenu par une ceinture noire, moulant mes fesses et mes cuisses. Le cariste pourrait passer facilement sa grosse main dans l’ouverture. D’ailleurs le sexy shorty bleu turquoise, orné de ...