Infidélité au travail (2)
Datte: 25/08/2021,
Catégories:
Erotique,
... d’arriver à l’église, tu es où ? — A l’usine. — Ah. Retrouve-moi dans la petite cour à l’arrière, du côté des livraisons. Il n’y a personne à cette heure-ci. — D’accord. Je partis aussitôt en direction du lieu de rendez-vous. Me faufilant discrètement par la porte donnant sur la petite cour, je fus surprise de découvrir un employé en train de fumer à cet endroit. J’attendais patiemment en silence. Mes pensées se bousculaient. Si Fabrice m’avait menti c’était qu’il doutait, partagé entre le bien et le mal. Il m’obsédait tellement que je n’avais pensé qu’à moi et à mon désir. C’était un homme marié et fidèle jusqu’à maintenant, je n’avais pas le droit de le tenter de la sorte. Soudain, Fabrice apparut, visiblement déçu par la présence de l’intrus, il le salua et commença à discuter avec lui. — Bonjour, m’adressa-t-il, les yeux brillants. — Salut, dis-je, lui faisant la bise. — Il fait bon ce matin, dit-il en roulant sa cigarette. — Oui, ça fait du bien, répondis-je. L’intrus nous laissa en tête à tête. Fabrice se rapprocha aussitôt de moi, plantant ses lèvres sur les miennes. Surprise, mes yeux s’écarquillèrent. Sa langue s’engouffra dans ma bouche, caressant la mienne. D’abord stupéfaite par ce baiser déterminé et inattendu, je me laissais allée dans ses bras. Ses cheveux bouclés étaient incroyablement doux dans sa nuque. Tout comme sa langue qui s’agitait contre la mienne. J’avais du mal à suivre son rythme et son mouvement désordonné. Fabrice se sépara soudainement de moi, ...
... le souffle court et les yeux brillants d’excitation. Portant sa cigarette aux lèvres, il aspira une bouffée. Le bout rougeoyant illumina faiblement son beau visage et son regard incandescent. J’étais complètement perdue par les événements. — Je n’ai pas compris ce qu’il s’est passé tout à l’heure, dis-je. tdutssga — Tu m’as réveillé. J’ai eu peur que ma femme se doute de quelque chose parce qu’elle est sensible et ressent les choses. Si elle avait vu les deux derniers messages, j’étais mort. — Mais hier, je t’ai dis par message à quelle heure je serais à l’église avant de quitter l’usine. — Je l’ai vu trop tard, je ne pouvais pas te répondre. — Ah d’accord. Fabrice jeta son mégot, m’embrassa langoureusement, ses mains malaxant mes seins par-dessus mon pull en polaire. Je glissais ma main sous les différentes couches de ses vêtements. Mes doigts rencontrèrent la peau douce et tendre de ses poignées d’amour. Fabrice mit fin au baiser, mais garda mes petites mains fines dans les siennes. Elles étaient épaisses et sèches, des mains de travailleur manuel. — C’est plus compliqué pour moi que pour toi apparemment. Ma femme ne travaille pas, je n’ai pas beaucoup de liberté comparer à toi. — Oui, mon mari travaille, ça facilite les choses. — La situation est trop ambiguë pour moi. — Tu regrettes ? — Pour le moment, il n’y a rien a regretté, il ne s’est rien passé. Je l’embrassais sensuellement, empoignant la veste de son bleu de travail. — C’est la première fois pour moi, je ne suis ...