Soirée étudiante : l'apprentissage continue - Histoires de Sexe

Soirée étudiante : l'apprentissage continue

... pensait aussi à sa nouvelle vie étudiante, réussie sous tous les angles, à ces découvertes de la vie. Le plaisir était augmenté par la pensée du fait qu’il y a un an elle se masturbait de façon sporadique, avec honte, sous sa couette. Là, elle était dans un lieu grouillant de gens, elle prenait un peu de risque. Mais ce n’était pas assez. Elle s’arrêta. Déçue, frustrée. L’excitation était bien là. Mais rien à faire, elle voulait le professeur. Réfléchissant encore quelques instants, elle se lança. Dans son petit sac à main, elle prit son téléphone portable. Un message très bref à l’intention du mentor : « Rejoins-moi, seul, dans la remise au fond de l’entrepôt qui est face au bar. » Quand elle pressa le bouton « Envoyer », son cœur s’accéléra. Qu’avait-elle fait ? Elle était excitée, mais imaginons qu’il ne vienne pas, qu’il soit déjà parti. Elle passerait pour une idiote.« Non, il y a peu de risques. Il était là il y a quelques instants, il ne faudrait pas de chance. Et puis il me connaît. » Marie se leva et, sourire aux lèvres, excitée avec le cœur pas encore affolé mais déjà en train de faire un sprint, glissa ses deux mains sous sa jupe. Elles firent glisser le string qu’elle retira pour le mettre en boule dans son sac à main. Ensuite elle éteignit la lumière, retourna doucement de l’autre côté de la pièce en faisant attention de ne pas trébucher, s’appuya contre le mur et attendit. Une trentaine de longues secondes plus tard, la porte s’ouvrit délicatement. Était-ce ...

... lui ? Ou un autre couple venu chercher de l’intimité ? Elle fut rapidement fixée. « Marie ? » entendit-elle d’une voix discrète qu’elle reconnut comme étant la bonne. — Oui. Ferme la porte et allume la lumière. L’homme s’exécuta. Il vit alors la magnifique étudiante contre le mur, sourire en coin. Sans réfléchir, il la rejoignit, et ils s’embrassèrent avec fougue. Un bref échange eut alors lieu : — Tu m’as manqué, tu sais, lui dit-elle.— Toi aussi ; tu es très belle ce soir… Alors, cet étudiant ?— Humm… Non, pas très intéressant. Les sourires laissèrent place à des baisers langoureux. Marie avait le feu, et elle poussa son prof sur le banc. Avec un sourire malicieux, elle lui demanda : — Tu as déjà fait des choses avec une de tes étudiantes dans une fête ?— Pourquoi ? Tu as des plans à me faire partager ? Nouveaux sourires, nouveaux baisers alors que Marie se mettait à califourchon sur l’homme qui sentait déjà son sexe durcir. L’embrassade fut brève puisque l’homme, appuyé contre le mur, regardait la séduisante jeune femme. Ses longues fines jambes repliées, avec ce collant noir et opaque, ce haut affriolant… Il posa ses mains sur les cuisses de l’étudiante, qu’il vit en train de déboutonner son jean. Soulevant son bassin pour l’aider, il présenta à Marie un gros sexe déjà dur mais sec. La vision de ce massif gourdin dur fit plaisir à la demoiselle, alors que son partenaire ne pouvait que constater, au fil des semaines, l’assurance prise par son élève. Il se demanda ce qu’elle ...