Soirée étudiante : l'apprentissage continue - Histoires de Sexe

Soirée étudiante : l'apprentissage continue

... allait faire. Pour l’instant, leurs ébats s’étaient limités à du classique, doucement, en variant les positions et les lieux. Ils n’en étaient pas encore au sexe totalement libéré, car si la pudeur de se voir nus avait depuis longtemps disparue, si la pratique était devenu régulière, Marie n’assumait pas tout, pas encore. Aidée par l’alcool – enfin, du moins le croyait-elle –, Marie se surprit et surprit l’homme quand elle posa un baiser au milieu de la verge, ce qui la fit se cabrer, et fit aussi soupirer l’homme.« Va-t-elle me surprendre ? » se demanda-t-il. Ils n’avaient pas encore abordé le chapitre de la fellation, bien qu’il rêvait tant et plus de la voir se saisir de son membre et de l’insérer dans sa magnifique bouche. Au lieu de cela, il vit Marie se relever un peu, s’avancer sur lui. Se rehaussant, forçant sur ses jambes, la jeune femme empoigna le sexe dur d’une main, et de l’autre souleva sa jupe, dévoilant directement son pubis excité et luisant. Cette vue et cette surprise totale soulevant plein de questions que le professeur oublia aussitôt provoquèrent une nouvelle contraction de son membre, que Marie sentit dans sa main, avec un sourire en coin. Le sexe décalotté de l’homme fut alors présenté contre les grandes lèvres, les partenaires ayant la bouche grande ouverte. Et d’un trait, avec juste de gros soupirs, Marie s’empala sur son professeur, sans ménagement. Marie avait enfin ce qu’elle voulait : ce sexe dur dans son ventre, la frottant de l’intérieur. ...

... Impatiente, en feu, elle se pencha sur l’homme pour l’embrasser alors qu’elle commençait ses franches ondulations du bassin. Le prof était ébahi. N’en revenant pas des progrès de sa muse, elle franchissait là une nouvelle étape, elle prenait totalement les commandes. Son sexe était enlacé dans un tube brûlant et trempé qu’il avait beaucoup fréquenté ces dernières semaines, et il avait compris que la soirée allait bien se terminer, d’autant plus que le lieu et la situation ajoutaient du plaisir. Mais il voulait la voir. Il la repoussa un peu pour la redresser. Marie arrêta presque ses mouvements, mais elle les reprit rapidement à l’incitation du prof. Le plaisir la faisait défaillir, elle avait du mal à rester concentrée, les yeux ouverts. Deux ou trois fois, par pudeur, elle voulut à nouveau se pencher sur l’homme pour l’embrasser et ainsi masquer un peu son plaisir. À chaque fois il la repoussa, l’invitant à continuer. Cela faisait partie des chapitres qu’elle avait du mal à assimiler : ne pas avoir honte du plaisir pris. Alors elle finit par rester en place. Elle regarda vers le haut du mur, au-dessus de son mentor, et elle continua à brutaliser le membre dur qui la ravageait. L’homme en voulait plus : il voulait contempler. D’une main, il souleva la jupe pour voir son sexe avalé, engouffré dans la grotte qui déversait ses flots d’amour sur lui. Le sexe rose, les lèvres déployées autour du membre, coulissait en laissant à chaque fois de la substance érotique sur la place. ...