1. Soirée étudiante : l'apprentissage continue


    Datte: 26/08/2021, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, profélève, fépilée, fête, noculotte,

    ... Au-dessus, on voyait un triangle, jeunes pousses d’une toison aux poils raides et courts, assez longs pour masquer la peau blanche. L’homme sentait déjà son sexe prendre encore du volume au milieu de ce fourreau. Alors, du bout des doigts, il quitta la jupe pour tirer sur les bretelles du haut de Marie. Il dut se redresser un peu, avec difficulté. Marie l’aida sans hésitation, et s’aidant de ses deux mains, baissa les bretelles pour ensuite tirer un peu sur son haut et soutien-gorge. Elle présenta alors ses deux beaux seins blancs aux mamelons et aux tétons gonflés, les masses immédiatement portées par les vêtements. Alors que Marie le chevauchait avec toujours plus de vigueur, il posa doucement ses mains sur ces masses chaudes qu’il avait déjà embrassées tant de fois. Marie ferma les yeux quand il commença à jouer avec les deux tétons en même temps, ou quand il empoignait les deux masses. Son étudiante était magnifique, et elle le désirait. Un fantasme devenu réalité, fruit d’un travail initiatique, lent, doux et respectueux, de plusieurs semaines. Elle-même lui plaqua les deux mains sur ses seins quand il essaya de les quitter. Cette fois-ci, il se redressa pour embrasser ces collines. Il plaqua rapidement sa bouche contre les masses, à tour de rôle, les embrassant puis les gratifiant d’un coup de langue, faisant soupirer Marie. Puis il s’enfonça entre les masses, respirant à plein poumons. Sa jouissance montait, c’était trop excitant. Il sentit son membre gonfler, sa ...
    ... semence monter. Marie le sentit aussi, et ce fut le détonateur. Ce bout de bois sur lequel elle s’était posée, qu’elle avait accueilli dans son ventre, gonfla un peu, la stimulant toujours plus. Elle accéléra, telle une cavalière au galop, et commença à exploser, à jouir, luttant contre elle-même pour ne lâcher plus que des souffles forts et des petits couinements. L’orgasme fut long, fort, et l’homme qui en avait conscience, lui enjoignit de ne pas s’arrêter. — Continue, continue, je viens, je viens… Et il explosa à son tour. N’ayant pas été préchauffé, son sexe ne libéra que des giclées modérées, sans violence, très rapidement. Mais cela convenait à son plaisir. Il demanda à Marie de continuer, c’était quand même fort. Ils restèrent ainsi enlacés, emboîtés, à s’embrasser pendant de longs instants, Marie se remettant à peine de cet orgasme, le plus violent qu’elle ait jamais eu dans sa courte vie sexuelle. Le téléphone de Marie sonna. Elle le regarda rapidement, sans se dégager de son homme. — Ah, mes copines me cherchent. Les deux amants se levèrent. Le prof se rhabilla facilement et rapidement, et après un tendre baiser à son élève, sortit le premier, discrètement. De son côté, Marie remit son string, se réajusta avec l’aide de son téléphone, et lui emboîta le pas quelques instants plus tard pour rejoindre ses copines. Du fond de son lit, douze ans après les faits, Marie se rappelait de ce première orgasme foudroyant, qui l’avait électrisée, l’avait contractée pendant encore de ...