Madame... (4)
Datte: 27/08/2021,
Catégories:
Divers,
J’ai eu bien de la peine avec ce dernier chapitre. Maintenant, si vous voulez une suite à cette suite, c’est à vous de me le dire. Chapitre 4 Cette couturière allait et venait dans mon cul et j’adorais cette sensation, oui, j’aime ça. Je n’ai pas taché les draps, Mademoiselle n’y tenait pas plus que moi. Sa bouche se fit gourmande, plus gourmande qu’à son habitude. Puis, elle se glisse sous moi, guide ma queue tendue en ses entrailles. Putain, c’est ça la position sandwich, on recommencera quand vous le voulez, je suis prêt. Je jouis, bien trop vite, de mon avis. Mais ce fut si fort, si violent que Mademoiselle ne m’en a pas voulu. « C’est bon de savoir qu’un puceau du cul ne l’est plus, mon ami. » « Mademoiselle sait y faire, je ne cesserai jamais de vous louer. » Dans mon cul, cette queue continue de me labourer, de me le pilonner. Je me sens bien et Mademoiselle semble ravie de sentir mon pénis la remplir à nouveau. Cette fois, je voudrais bien qu’on jouisse tous les trois ensembles. Je me claque sur Mademoiselle. Je crois pouvoir dire, la queue dans mon cul en plus, que c’est la première fois que je fais l’Amour à Mademoiselle, que je lui crie, oui, lui crie, lui hurle mon amour infini. Le jeune pourceau devient enfin un homme. Un vrai, je ne serais avoir la prétention de le dire, seules mes amantes, mes… Maîtresses, peuvent confirmer si leur soumis, moi, est réellement un homme, un vrai. Ma bouche sur celle de Mademoiselle, je me régale de ses gouts, de ses arômes. ...
... Son corps embaume le désir, empeste délicieusement la perversion et moi, j’aime à subir tout ça. Dans mon cul, une queue vient de se blottir tout au fond, je sens ce liquide chaud se déverser par saccade. Et puis, il y a ce râle de délivrance, de bonheur qui pénètre dans ma tête. Mademoiselle jouit de me voir ainsi ressentir ce que nous, les hommes, aimons à faire subir à nos compagnes. Cette belle bite se retire de mon cul, elle n’a pas le temps de s’éloigner de moi. Au point ou j’en suis, autant aller jusqu’au bout, même si cela devait me déplaire. D’une main, je l’attrape, la tire vers ma bouche. Sous les yeux brillant de Mademoiselle, un premier coup de langue, un premier baiser sur ce prépuce. Puis, sous les conseils avisés de Mademoiselle, j’entame une fellation. La couturière semble heureuse de voir un homme la sucer. Je suis dans ce tourbillon complètement dingue, celui d’un jeune homme à peine dépucelé qui s’ouvre à tout, du meilleur jusqu’au pire et cela me plait. Ma bite va et vient entre les cuisses de Mademoiselle, ma tête va et vient sur cette bite. Je vis, je revis. Au diable mes souvenirs perdu, cette nouvelle vie est bien plus belle que ne devait être l’ancienne. Je n’ai plus souvenir de mes parents, de mon patron, de mon enfance. Qu’importe, je viens de labourer mon jardin des souvenirs pour en planter de nouveaux. Mademoiselle jouit encore, cette couturière jouit dans ma gueule de mec volontairement asservi. Et moi, là, au milieu, je bois ce foutre, m’en ...