1. Madame... (4)


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Divers,

    ... beau mal et bien outillé, ma chère. C’est un toutou adorable. Ne sois pas trop sévère. Il n’a pas besoin de douleur pour nous donner de cette chose que nous voulions toutes quand nous étions des gamines, l’amour. Il en est remplit, ce toutou. C’est bien le premier qui n’a pas envie de te quitter après quinze jours. » « Lui, c’est plus que mon toutou, c’est notre…comment on dit… » « Étalon, ton étalon. Pour ça, rien que pour ça, il ne te quittera que si tu le tue. Il est fou d’amour pour toi et celles qui te servent. Bon, c’est pas tout, mais là, faut le mesurer, ton étalon. Debout-toi ! » Je me tiens droit devant cette couturière, nos queues se touchent. Entre nous, c’est l’étincelle qui l’empêche de prendre mes mesures. Déjà sa main me branle, les miennes la branlent, de sa belle bite tendue à son anus détendu. Devant Mademoiselle, tête-bêche, on se suce nos queues, nos culs. C’est dingue, si elle n’était pas dans un corps de femme, avec des odeurs de femmes, un gout de femme, je dirais non. Je ne pourrais pas avec un homme. Un homme, ça n’a pas la grâce, la douceur dans ses gestes. Avec elle, et elle le sait, je suis prêt à toutes les folies. Je jouis, mon cul remplit de ce manche de martinet, de cette queue qui s’enfonce loin dans la gueule de mec. Mec, oui, c’est le mot. Et puis, je suis quoi ici, dans cette maison. Je ne me souviens de rien de mon passé ancien, je n’avais souvenir que des derniers moments, juste avant l’explosion. Je n’étais plus qu’un puceau, un ...
    ... morceau de pâte à modeler entre les mains de Mademoiselle. Puis, il y a ce sperme qui s’écoule dans ma bouche par petite saccade. Il y en a très peu, mais assez pour que je me délecte de ce liquide, comme d’un breuvage merveilleux. « Mademoiselle, puis-je dire un mot ? » « Oui, tu peux, mon jeune ami. » « Ce que je vais dire est encore embrouillé dans mon esprit. Voilà, depuis mon retour, je ne suis plus l’homme que j’étais avant, je n’en que, de souvenir, que les derniers instants. Donc, je suis un puceau, un bout de pâte à modeler entre vos mains, celles de vos servantes. Je vous en supplice, éduquez-moi, apprenez-moi, soumettez-moi à vos vices, vos perversions. » « Il n’est pas banal ton jeune chien. Il me plait, il me plait même beaucoup. Rare sont les hommes avec autant l’envie de te servir que d’apprendre. Comme je te l’ai dit, garde-le précieusement. » « J’y compte bien, ce con, ce magnifique con, il m’a émue. Chris, je ne vais pas faire de toi mon esclave, quoi que si, mais un esclave sexuel, un baiseur, un enculeur autant qu’un enculé. Moi et mes filles, nous ne voulons plus que tu partes. Pourtant, je prie pour que ta mémoire te revienne, que tu sache qui tu étais avant. » « Moi pas, cette vie, c’est la plus belle de toute, du moins, c’est ce que je pense, ce que je ressens. Plaisir et douleur qui se mélange, c’est du bonheur à l’état pur. Vous aimer, vous chérir, c’est tout ce qui compte pour moi. Je n’en oublie pas vos servantes. Après tout, c’est aussi ce que je suis, ...