Madame... (4)
Datte: 27/08/2021,
Catégories:
Divers,
... délecte, retenant cette bite dans ma bouche de mes mains enlacent ce cul de femme à queue d’homme. Putain que c’est bon, enchainez-moi à cette maison au moindre soupçon de désertion mademoiselle. Tout se calme, je suis couché sur le corps de ma Maîtresse, je retrouve mes esprits, autour de nous, les demoiselles de Mademoiselle se branlent encore. L’une après l’autre, je les fais venir, les embrasse. « Si l’envie de m’enculer vous prenait. Enculez-moi, même de force. Je sens que je pourrais aimer toutes vos perversions, même les plus sales, les plus douloureuses. » C’est tout ce que j’ai dit, du moins je crois. Ces deux femmes m’avaient épuisé. Je me réveille quelques heures après. Caroline est allongée sur le ventre, ses doigts parcourent mes cicatrices sur ma poitrine, ce petit creux sur mon front. Sa bouche, légèrement entre-ouverte, je l’attire, l’embrasse. J’ai envie de la lécher intégralement. Je me sens bien, merveilleusement bien. Caroline a chaud, elle transpire, je lèche son corps jusque dans ses moindres recoins. Si on m’a délivré de mes préjugés, je sais qu’elle est enfin libre dans sa tête. Je sais qu’un jour prochain, Caroline partira. Si cela ne m’attriste pas, je n’ai qu’une envie la réconcilier complètement avec le genre humain qu’elle détestait le plus, nous, les hommes. Je suis couché entre ses cuisses, ma langue lave son cul. Je sens ce gout âcre, cette odeur de transpiration qui l’accompagne. Je ne sais pas vous, mais moi, cela m’excite. Soudain, sur mon ...
... cul, une violente douleur accompagnée d’une méchante brulure, je viens de recevoir un putain de coup de martinet. Je regarde qui me l’assène, Mademoiselle, je replonge dans ce cul. Les coups se suivent, de mon cul à mes épaules. Je sens ces lanières lacérer mon corps. Je ne proteste pas. Après tout, ne me suis-je pas soumis à Mademoiselle. Je pousse el vice jusqu’à relever mon cul. Les lanières me frappent encore quelque fois avant que mon cul ne me brule quand le manche long et très épais s’enfonce sans préparation. Je ne peux pas retenir ce cri de douleur. C’est le moment que choisit Caroline pour jouir, lâchant sa cyprine sur ma tête, mon visage. Je me sens humilié et c’est une sensation que je ne suis pas prêt d’oublier. « Alors, mon jeune ami. Il y a ma couturière qui t’attend en bas, elle doit encore prendre tes mesures. » « Merci de me rappeler qui je suis dans votre maison, merci. » « Je peux être encore plus sadique, plus vache. » Mon visage, mes cheveux, tout est poisseux. Mademoiselle attire ma tronche contre sa bouche, sa langue lèche de mon menton à mon front. Dans mon cul, elle fit aller et venir ce manche. Je bande comme un âne. Caroline enfile sa tunique victorienne, baise ma main et s’enfuit vaquer à ses occupations. En bas, Mademoiselle m’amène à la couturier entièrement nue, ma Maîtresse me tient par l’oreille, me lance au pied de cette femme au sexe d’homme. Encore dans les vapeurs de nos amours. Je me relève en léchant et embrassant cette femme. « T’as un ...