Elles - Luce & Caprice - Histoires de Sexe

Elles - Luce & Caprice

... temps. Luce la titilla, l’exhorta à patienter en goûtant cet endroit minutieusement, s’en allant parfois jusqu’à l’oreille qu’elle taquinait, la mordant doucement, léchant le lobe, descendant jusqu’à la clavicule, n’osant jamais descendre plus bas, attisant tranquillement le désir de sa copine. — Et jamais tu vas ailleurs ! tu veux me faire mourir c’est ça ?! Un baiser à nouveau et elle rétorqua : — Oui… de plaisir. Et cette fois elle s’attaqua à la framboise sur le sein gauche, elle la mangea et feignit de ne pas se rendre compte qu’elle mordillait le téton de Caprice qui sursauta légèrement sur le coup, son buste se redressant à peine. Elle laissait à présent les soupirs s’échapper à leur guise, attendant fébrilement la suite des évènements. Luce joua avec le téton offert, vint manger l’autre bout de la framboise, s’occupant du sein gauche d’une main et s’affairant alors à lécher l’aréole droite. Elle prit en bouche l’excroissance rosée, la mordilla à nouveau. Elle savait que sa chère et tendre était particulièrement sensible à ce genre d’attention, puis l’enveloppa à nouveau de ses lèvres. Elle s’occupait avec délicatesse du sein gauche et passa ensuite son pouce sur la douce peau de son amante, elle contourna l’aréole, remonta sur le téton et le titilla avec douceur. Puis elle en vint enfin à lécher entre les deux valons tendres de sa chère. Elle récoltait de la langue toute la confiture, déposait un baiser de temps en temps et se dirigeait lentement mais très ...

... sûrement, vers le centre de ses désirs, et des plaisirs de Caprice. De zigzags en lignes droites, de sorties de chaussée en virages de dernière minute, elle explora avec beaucoup de minutie cette route malléable et ambrée qui ne réclamait que ses caresses. Ses mains n’étaient pas pour autant en reste puisqu’elles s’affairaient à prodiguer elles aussi quelques soins. Elles massaient les seins avides de douceurs, puis glissaient délicatement dans le dos afin d’accompagner la descente de Luce. Enfin, elles arrivèrent aux flancs de la belle tandis que Luce, elle-même, ayant dépassé l’aine de sa conjointe, était à deux doigts de son clitoris. — Me fais pas languir hein ! j’ai déjà assez attendu, si tu l’évites je t’assassine ! L’autre rigola, et faillit embêter sa copine mais elle n’avait pas non plus envie d’attendre plus longtemps. Drr..innggg ! Drrinngg !! — AHH BON SANG ! s’écria Caprice, au bord du supplice, mais qui ose nous appeler à cette heure là ?— Shh, ma puce, c’est rien, ça doit être le vieux qui se trompe encore de numéro. Evidemment, c’est toujours dans les cas où vous ne répondez pas qu’il faut répondre. Alors que je frôlai le haut de son sexe de ma langue, l’idée que cet appel puisse être un cas d’urgence ne m’effleura même pas. Tout ce qui comptait c’était d’entendre sa respiration perdre son rythme, c’était prêter attention à ses gémissements qui se faisaient moins rares et qui me guidaient dans cette délicieuse et délicate manœuvre que j’avais pourtant répétée des ...