1. Elles - Luce & Caprice


    Datte: 19/11/2017, Catégories: ff, intermast, Oral

    ... centaines de fois. ooOoo Lirio & Azahar Une nouvelle urgence, encore. Lirio est appelée immédiatement pour s’en occuper. Décidément, aujourd’hui, elle n’a vraiment pas une minute de repos et n’arrête pas de valser entre visites et petites broutilles du style analyse ou piqûre… quelle journée ! Elle accourut aux urgences, et tout se passa très vite. On lui résuma vite fait la situation. La dame, plus ou moins âgée, s’est cogné la tête lors d’une chute en se levant du lit, très probablement à cause de vertiges. Elle a besoin d’une IRM et Lirio doit s’en occuper et veiller à son rétablissement. Bien ! Lirio entreprit donc de lui trouver une chambre, ce qui ne fut pas vraiment aisé. Une fois la chambre trouvée, la jeune doctoresse s’autorisa à respirer un court instant, car il fallait déjà s’occuper de d’un autre patient, fff !! Un peu plus tard, elle repassa avec le dossier de la femme en main, Martelli Stella, cinquante deux ans, mariée. Levant les yeux, elle s’aperçut que la femme était consciente. — Bonjour Madame, comment vous sentez vous ? Levant un sourcil, la dame répondit non sans une certaine vigueur : — Molle ! et j’ai un affreux mal de crâne !— Pourtant vous ne semblez pas si mal en point, pensa Lirio, à la fois contente et sceptique car ce genre de femme caractérielle a le don de lui porter vite fait sur les nerfs.— Bien, ça n’a pas l’air grave, mais je dois vous informer que si vous êtes là c’est parce que vous vous êtes cogné à la suite d’une chute… On pense que ...
    ... vous avez eu des vertiges et que vous êtes tombée en vous cognant contre votre table de chevet. C’est pour ça les bandes, enfin, autour de votre tête… Stella la regarda bizarrement, l’air de dire : « Autre chose ? » La jeune femme sentit la lourdeur de l’air et ce ne fut pas pour la calmer. Elle savait pertinemment que la femme voudrait rentrer chez elle au plus vite mais elle devait rester un minimum de temps. Tout au moins jusqu’à ce qu’elle lui parle de l’IRM. — Et c’est quand que je vais pouvoir sortir, questionna la dame, comme le pressentait la jeune fille. Elle inspira profondément et, essayant d’accrocher un franc (?) sourire sur ses lèvres, répondit, quelque peu gênée : — Eh bien… à vrai dire, dans des cas similaires au vôtre on fait passer une IRM au patient… Sans pouvoir finir sa phrase, elle fut coupée : — Une IRM ? vous avez des choses bien étranges dans un hôpital !— Une IRM… eh bien, c’est une sorte de scanner pour faire court, qui nous fournira une radio de votre cerveau afin que l’on voit si vous n’avez pas… euh, une lésion, ou un problème plus grave. En somme c’est pour voir s’il n’y a pas eu de dégâts pendant votre chute. Cela dit, ce n’est pas long et vous pourrez sortir une fois que nous aurons les résultats… tout du moins, si ceux-ci sont positifs. L’italienne soupira bruyamment : — Eh bien, eh bien, et il vous faut du temps pour les avoir les résultats ?!— Oh non, c’est assez rapide… admettons, ça prend à peu près une heure, puis on observe les résultats ...
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