Elles - Luce & Caprice
Datte: 19/11/2017,
Catégories:
ff,
intermast,
Oral
... sa chère lui a exprimé et répond : — Oh… je te fouetterai !— Ah oui !? Elles s’embrassent. — Oui, il faut corriger les vilaines filles dans ton genre ! La rousse rigole à l’idée. Elles s’étreignent, flottant entre amour et douceur, réalité et fantasme. Caprice, dont les doigts s’accrochaient dans le dos de sa belle et dont les ongles se plantaient dans la peau de celle-ci, sentait le plaisir qui commençait à se propager dans son corps. — Et c’est quand que tu vas me fouetter ? Hum.. ?— À ta prochaine incartade !— Humm… c’est que ça donne envie, dis moi… finit-elle en avalant ses mots en même temps que sa salive. Et puis après plus rien, rien que la respiration devenue bruyante. Celle de Luce tanguait doucement vers la même fin. Elles ne s’embrassèrent plus, ou plus vraiment, bouche contre bouche, à se bécoter de temps à autre. Luce avait touché un point crucial et s’affairait à ne pas le perdre des doigts. Elle émergea vaguement de son fantasme pour le faire partager à Caprice. — Je t’apprendrai la discipline à quatre pattes, le cul bien bombé, pour que tes fesses me disent bonjour et qu’à mon tour je les salue de la main… histoire de te faire rougir un peu ! Inspiration, expiration, les deux se concentrent pour se coller plus encore. Deux corps côtes contre côtes, et ça s’embrasse, histoire de se partager de l’intérieur. — Tu aimes bien les chevaux, non, ma puce ? Je tâcherai de trouver une belle cravache pour ta croupe, je te promets. Le sourire se forme sur les lèvres de ...
... la puce. Elle savoure le don divin de l’imagination ainsi que le plaisir de se faire caresser en imaginant pareille scène. — Et schlack ! Un peu de rose sur ta peau caramel… Un baiser encore. Puis c’en est trop. Luce oublie là sa petite rêverie, laisse le soin à Caprice de s’y laisser perdre. Elle se détache de l’étreinte et fait courir ses lèvres, ou sa langue, c’est selon, sur la sucrerie mat qu’est la peau de sa Douceur préférée. Caprice se laissa aller en arrière, afin de s’allonger sur les coussins qu’elle avait quitté auparavant. Elle effectua son triathlon, bouche, gorge et con, avec une conscience de sportive de haut niveau, et termina sa course sur le mont de Vénus qu’elle visita le temps de quelques secondes avant, enfin, d’embraser la flamme olympique… D’embrasser le clitoris de Caprice, ce ’joli joyau’, sous les acclamations ravies et fan de sa bien aimée. Elle le prit en bouche, il sembla fondre sous la langue. Elle s’en amusa, et lécha, puis les grandes lèvres puis les petites, rejoignit ses doigts, qui s’étaient remis à l’ouvrage, cela va de soi… au cœur de la fête. Elle essaya à nouveau un partage de l’intérieur. Celui du plaisir, cette fois. Réciproque car elle sentait bien qu’elle mouillait, mais dévastateur chez Caprice. Celle ci le sentit s’emparer de ses sens, de son cerveau. Toutes synapses ouvertes, en pleine transmission d’un message qui loin d’être nerveux est au contraire détendu, et plein de joie et d’allégresse. Soudain, le final, comme une flèche ...