1. Elles - Luce & Caprice


    Datte: 19/11/2017, Catégories: ff, intermast, Oral

    ... et s’il n’y a rien de grave, vous pourrez sortir.— Vous appelez ça rapide, vous ?! Bien… de toutes façons je n’ai pas vraiment le choix, hein ! Bien, bien faites moi votre scanner. Lirio poussa un soupir de soulagement dans son for intérieur. Elle est énervante mais au moins, la jeune femme n’a pas eu à se débattre pour la convaincre. — Bien, je vais voir si l’IRM est libre, et je reviendrai vous prévenir. S’il est libre je vous y conduirai à pieds. Ça ne durera pas bien longtemps et je vous reconduirai à votre chambre.— Merci, grommela Stella sur un ton bourru, les hôpitaux n’ayant jamais été son fort. ooOoo — Aahh… hhff… mmhh, là, oh, oh oui juste là, hmm… oh vas y, juste làah… Pieusement, Luce massait de son pouce le clitoris de Caprice. Exerçant une fine pression, le doigt décrivait de longs et lents cercles. Par cette étrange fougue qui les animait, les deux jeunes femmes avaient traversé la cuisine (entre baisers, piques et caresses) ainsi que le couloir et étaient enfin arrivées dans la chambre. Le charme du lit et du confort ayant remplacé l’extravagance incongrue de la table… Délicieusement installée, allongée sur des coussins plutôt moelleux, Caprice savourait ce doux traitement. Un cunnilingus dans les règles de l’art. S’ajoutèrent deux doigts à l’œuvre, et puisqu’à l’œuvre, les deux doigts allaient et venaient mollement tout d’abord, puis dans un rythme maîtrisé de plus en plus rapide. — Hum… putain, si tu léchais pas aussi bien, ça fait longtemps que je t’aurais ...
    ... larguée ! Luce s’interrompit le temps de dire : — Ah ! salope ! redis encore un truc comme ça et je te laisse en plan là, comme une pouf, les jambes écartées, une vraie chienne lubrique là… Et partant dans son délire : — Et je te photographierai, et je montrerai le shoot à ta mèèèère !! ha ha ha ha ça lui fera les pieds ! Caprice, à ces paroles se redressa, et Luce de s’adapter. — Meuuh, allez, ça va bébé, je plaisantais. Voyons mon amour t’es la seule que j’aime ! L’italienne s’arrêta une fois de plus et vint embrasser furtivement sa compagne, le tout évidemment sans cesser ses caresses délicates. — T’as plutôt intérêt, oui !— Ma Lumière ! tu sais bien que je te taquine ! Un baiser à nouveau, un peu plus long. — Comme je disais : t’as plutôt intérêt ! Et un autre encore. Suivi de deux ou trois sosies le long du cou de Caprice. — Ah oui… ? Sinon tu me fais quoi ? Derechef sur les lèvres. Subtil mélange de roses. Et le travail toujours minutieux de ces doigts curieux et conquérants, chevaliers en quête du bonheur de leur dame… laquelle ronronne tandis que l’autre jubile : — Ce que je te ferais, hein ? Bouche contre peau. Elle l’effleure juste des lèvres, d’abord la joue, et le cou, et le creux de l’épaule. Caprice soupire : « Hum, hum… » Ce qui pourrait se traduire par un : « Oui, oui. » littéralement, ou plus littérairement : « Je t’en prie ma douce, laisse moi donc savoir.» (la traduction, tout un art…). Luce, ayant en poche sa maîtrise du Capricien comprend aisément ce que ...
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