Angoisses et consolation
Datte: 01/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
fagée,
inconnu,
grosseins,
bizarre,
bain,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
nopéné,
initiatiq,
... sombre. Après quelques minutes pendant lesquelles elle reste immergée jusqu’au cou, sans autre mouvement qu’un tressaillement occasionnel de ses cheveux gris tirés en queue de cheval, la femme se retourne vers moi et sort de la mare sans même esquisser un geste pour cacher sa nudité. Je n’en crois pas mes yeux lorsque je vois effectivement une sangsue accrochée à son sein gauche, juste à côté de son mamelon fripé, puis une autre près de son nombril et une autre encore entre les poils rares de son pubis. Je détourne d’abord mon regard, tant par politesse que par dégoût de ce corps usé par les ans. Mais je me ressaisis en pensant aux blessures que risquent de lui infliger les parasites, et je m’approche d’elle pour l’aider à s’en débarrasser au plus vite. J’en découvre à ce moment une quatrième, juste au-dessus de ses lèvres intimes, flasques et distendues. — Je vous avais pourtant avertie, c’est infesté de ces bestioles, laissez-moi vous les enlever, dis-je en saisissant deux petites branches pour les écraser.— Ne les arrache surtout pas tant qu’elles ne sont pas rassasiées ! Ou alors encule-les avec un bâton de feu ! Le rire qui ponctue cette phrase grossière me glace le sang. Toutefois, malgré mon dégoût de ces bêtes autant que de l’apparence de cette femme vulgaire et sans pudeur, je suis son conseil et chauffe à la flamme de mon briquet une aiguille que je déniche dans mon sac. Me voyant hésiter sur la meilleure technique de mise à mort, elle m’encourage sur le même ...
... ton. — Laisse-moi celle sur le nichon, et l’autre sur mon clito, tu ne peux pas savoir comme elles me font du bien. Allez maintenant, pousse ton bâton de feu, vas-y, encule-les, encule-les ! D’un geste sec je pousse l’aiguille chauffée au rouge dans le corps ondulant de la bête immonde ventousée sur le ventre de la vieille. Une monstrueuse crispation se produit, et la sangsue se ratatine en laissant échapper un jet de fumée. Elle lâche prise immédiatement et tombe au sol en laissant une marque sanglante près du nombril. Je chauffe une seconde fois l’aiguille et me prépare à la planter dans une deuxième sangsue, sans trop savoir comment faire pour éviter de toucher la femme, ni poser mon regard sur une intimité que je n’ai aucune envie de garder en mémoire. J’y arrive tant bien que mal, non sans m’apercevoir que malgré le bain en eau trouble, un parfum agréable émane du corps décharné. Je chasse cette idée de mon esprit, pour mieux me concentrer sur la sangsue à tuer, mais frôle par inadvertance le bas-ventre de la femme. Au moment où le parasite part en fumée, elle saisit vivement ma main et avant que j’aie le temps de réagir, l’utilise pour caresser son sein libre. — Je te dégoûte, hein, avec mes envies ! Mais ça t’excite aussi de sentir ma chaleur et la douceur de ma peau. Tu me croyais déjà froide et tu me découvres fripée mais chaude. Eh oui, c’est comme ça, sauf que ça ne fait de bien à plus personne.— Euh, c’est bien dommage, mais, je…, bredouillé-je, de moins en moins ...