1. Évaluations à chaud


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre,

    ... lui confirme notre hôtesse. Vous n’avez qu’à échanger votre tabouret avec celui de Sandrine et vous mettre entre Chantal et moi. J’espérais avoir droit à un sourire de la part de celle dont j’ai fait alléger la peine, mais elle ne se détend pas. Sans un mot, elle remet son plateau à Sandrine et quitte en souplesse son siège pour rejoindre la place qui lui a été indiquée. — Merci, Madame Aline ; merci, Mesdames. Ce sont les seuls mots qu’elle prononce avant de baisser les yeux vers son assiette. Je l’observe à la dérobée pendant qu’elle termine sa crème glacée. Le dos droit, les coudes serrés pour ne pas heurter ses compagnes de table et l’attitude discrète témoignent d’une bonne éducation. Sa poitrine pointe sous le chemisier, laissant deviner des seins hauts et fermes. Le verre de la table me permet d’apprécier de longues jambes bronzées. Le haut de ses cuisses est malheureusement masqué par le tissu. Je me demande ce que cette fille stylée a bien pu faire pour mériter les humiliations que tu lui as imposées. S’est-elle aperçue que je détaillais son corps ? D’un geste apparemment distrait, elle vient d’écarter le bas de son chemisier. Ses cuisses légèrement disjointes révèlent un abondant buisson de poils lisses aussi noirs que ses cheveux. Aucune marque de maillot ne se voit sur les hanches. Je lève les yeux vers son profil. Le nez fin, les lèvres minces, le cou gracile et la chevelure de jais composent un ensemble harmonieux. Sous les longs cils, je crois entrevoir une ...
    ... sombre prunelle. Je souris à ce regard en coin en cherchant un compliment qui justifie mon indiscrétion. Mais à cet instant, tu fais tinter bruyamment ton verre pour réclamer le silence. — Mesdemoiselles, s’il vous plaît ; j’ai deux ou trois choses à vous dire… Merci de votre attention. D’abord, vous pourrez disposer de votre soirée dès la fin de cet excellent repas que nous devons à nos hôtesses. C’est le moment de les remercier et de féliciter Sandrine pour son velouté d’orties. Que ce soit pour le quartier libre ou pour la qualité gastronomique, les applaudissements sont assez convaincants pour que madame C** se lève et prenne la main de sa jeune bonne pour saluer. — Mais ne vous couchez pas trop tard, reprends-tu quand le calme revient. Demain matin sept heures, je veux vous voir ici, prêtes à faire trois tours du parc en courant. Le parcours est balisé. Vous trouverez sur votre lit la tenue de sport qui convient. Le petit déjeuner sera servi à votre retour, de huit à neuf heures. Les filles se regardent, étonnées. Ce jogging n’était sans doute pas prévu au programme. Mais leur habitude d’obéissance prend le dessus et elles se préparent à quitter leur table sans poser de questions. Tu frappes dans tes mains. — Encore une chose : en longeant le ruisseau au fond du parc, vous passerez devant des orties. Vous en ramènerez chacune un gros bouquet. Les trois qui rapporteront les plus fournis seront mes assistantes pour la punition de Déborah. Cette fois, c’est moi qui suis ...