Panique au Trip Hot Club
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
fh,
boitenuit,
Oral
Partouze / Groupe
policier,
... le living, d’autant que l’intérieur de l’habitation était inhabituellement sombre. — Tu vis dans le noir ou on t’a coupé l’électricité ? demandai-je simplement. Je n’eus pas l’occasion d’entendre la réponse, car le ciel me dégringola soudain sur le crâne ! D’abord derrière moi, puis de face, les coups se mirent à pleuvoir. C’étaient des frappes vicieuses, dans la pénombre, généreusement distribuées par deux ou trois assaillants, et auxquelles je m’efforçai de riposter. Les silhouettes se déplaçaient rapidement, mais plusieurs de mes coups de poing atteignirent leur but avec suffisamment d’efficacité pour me débarrasser provisoirement de l’un ou l’autre de mes adversaires. C’était un combat silencieux, si l’on excepte les grognements de douleur et les ahans, où chacun s’échinait à toucher les points névralgiques. Ma lèvre inférieure se fendit contre mes dents, puis j’encaissai un coup sournois qui me donna l’impression qu’on m’arrachait l’oreille. Je frappais des pieds et des poings, levant les avant-bras pour parer les ripostes. Avant que l’un d’eux ne parvînt à crocheter mes jambes et à m’entraîner sur le carrelage, je réalisai qu’ils étaient trois. Compte tenu des difficultés qu’ils éprouvèrent à venir à bout de ma résistance, j’aurais sans doute pu moucher d’une seule main n’importe lequel d’entre eux, mais pris par traîtrise dans un assaut collectif, il m’était presque impossible de m’en sortir. Dès que je touchai le sol, les coups de pied labourèrent mes flancs. Je me ...
... roulai en boule, couvrant mon visage et les endroits les plus vulnérables. Finalement, des mains me saisirent, mon crâne heurta plusieurs fois le dur carrelage et, un goût de sang dans la bouche, je finis par perdre connaissance. C’est un choc brutal, accompagné de bruits métalliques et d’une sensation de froid et d’humidité, qui me tira de ma torpeur. J’ouvris les yeux : tout était obscur, mais autour de moi l’eau clapotait et je réalisai que j’y trempais jusqu’à la poitrine et que le niveau était occupé à grimper. Je pouvais à peine remuer, car quelque chose me retenait au ventre et au torse. Je compris que j’étais assis dans une voiture, sanglé dans la ceinture de sécurité, et que la flotte montait dangereusement ! Si je ne voulais pas échapper à une mort atroce, il me fallait sortir de là. Ma main droite partit à la recherche du poussoir de déblocage de la courroie qui m’enserrait, pendant que la gauche essayait d’atteindre la poignée de portière. Au moment où je touchais la boucle, le liquide glacé faisait pareil avec mon menton. Je pris une grosse goulée d’air avant d’être submergé et, rapidement mais sans précipitation pour ne pas gaspiller l’oxygène dans des gestes irréfléchis, m’efforçai de me libérer. La ceinture tenait bon ! Peut-être avait-on saboté le verrouillage… Comprenant que je ne m’en sortirais pas de cette façon, je tirai sans brusquerie sur la ceinture pour éviter de bloquer l’enrouleur, puis commençai à glisser vers le haut de l’habitacle. La pression du ...