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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°796)
Datte: 02/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... voix haute en me contemplant ainsi totalement ouverte et en me traitant des pires insultes humiliantes... L'un d'eux se détacha du groupe et s'approcha de mon cul relevé aux fesses arrondies. Il prit place derrière moi et sans préliminaire ou hésitation dégagea sa queue et l'enfonça dans mon anus... Malgré la douleur, je n'émis aucun son. Aucune plainte, aucun gémissement... l'homme s'appliquait à m'enculer profondément. Il donnait de violents coups de reins et ahanait sous l'effort. On aurait cru qu'il voulait parvenir à faire bouger la table par la seule force de ses coups de boutoir dans mon trou du cul. Mais la table était parfaitement rivée au sol et c'est mon corps qui recevait toute la puissance virile émise par l'homme dans son déhanchement sodomisant et puissant. Cela dura de longues minutes, jusqu'à ce que l'homme lâche un long râle rauque de jouissance... J’avais tenu bon, je n'avais toujours pas émis le moindre son et j’avais même trouvé du plaisir à me faire prendre ainsi si bestialement, je dois bien le reconnaître. Et si je n’avais pas le droit de jouir, mon excitation était grande à en faire couler abondamment ma cyprine le long de mes cuisses de femelle... Seul flottait dans l'air des rires gras et moqueurs des hommes qui assistaient à la scène en attendant ...
... leur tour. Celui qui venait de se soulager se retirait et un autre prit sa place pour m’enculer à son tour. Le premier sodomite avait encore la queue un peu dressée quand il s'approcha de moi, le sexe toujours sorti, poisseux de son sperme et mes sécrétions anales. Il vint tout près et enfonça sa queue dans ma bouche immobilisée et positionnée sur le côté de la table, et que le mors métallique maintenait largement ouverte. Le sexe de l'homme allait et venait, s'enfonçant dans ma bouche, jusqu'au fond de ma gorge. Je sentais son jus qui se déposait sur ma langue, partout à l'intérieur de ma bouche... tandis qu'il se nettoyait ainsi son sexe, un autre camionneur avait déjà entreprit de m’enculer à son tour quand ce deuxième routier se vida en moi. L'homme qui prenait mon cul était bruyant et il prononçait des mots sans doute crus dans une langue dont j'ignorais tout mais me semblait plutôt slave. Je n'en revenais pas de penser à cela ... je servais de trous à bites pour nettoyer le sexe d'hommes qui venaient de m'enculer auparavant et mes pensées étaient pour tenter de saisir leurs paroles ! La séquence dura, dura, dura longtemps... les hommes se succédèrent ainsi, d'abord dans mon cul, ensuite dans ma bouche, y déversant leur jus épais et leur plaisir jouissif... (A suivre...)