1. Ursula, coach très perso (1)


    Datte: 25/11/2017, Catégories: fh, ffh, fplusag, frousses, médical, complexe, bizarre, amour, revede, Oral pénétratio, init, journal, humour,

    ... y terminer la soirée. Marie-Gabrielle est une jeune femme moderne et entreprenante. Brune, les yeux clairs, les seins juste comme il faut, ni absents ni arrogants, le ventre surveillé de près mais sans crises obsessionnelles. D’une taille plus que moyenne, elle aussi fait (re)tourner de nombreuses paires d’yeux masculins dans la rue ou dans les restaurants. La lèvre pulpeuse, toujours humide, elle sait regarder un homme en lui suggérant son acceptation docile à satisfaire toutes ses envies, y compris les plus osées. Nous nous retrouvons donc en tête à tête dans mon appartement. Après quelques badineries sans conséquence, j’entreprends de passer à des jeux plus sérieux. La belle Marie-Gabrielle ne marque ni objection ni refus. Au contraire, elle se prête à tous mes lutinages avec une certaine ferveur et délectation, en facilitant même mes approches. Et les choses se précipitent. Je m’enhardis et vais de plus en plus loin dans ma descente aux enfers. Le terme peut choquer, mais pour moi, il correspond à une véritable et dramatique réalité. De badinages en badineries, mon esprit est alors essentiellement tourné vers elle. J’en oublie mes pannes et éjaculations précoces, jusqu’au moment où… L’esprit redevient totalement obnubilé par La chose. Je sais alors que, dans un instant, à plus ou moins brève échéance, je vais devoir déclarer forfait, remballer ma morgue, faire face à une virilité défaillante. Laissant là une jeune femme frustrée, s’interrogeant sur ce qu’elle n’a pas pu, ...
    ... ou n’aurait pas dû, faire. Car, au fil du temps, j’ai appris que les femmes, face à ce type de situation, culpabilisent ! Oui. Elles culpabilisent de n’avoir pas su amener l’Homme à son plaisir et se faire accompagner dans le leur. Et c’est pourquoi j’avais consulté les médecins. Mais rien n’y faisait. Bien sûr, avec le temps, j’ai appris à caresser, à trouver les zones érogènes de mes partenaires, leur apportant, autant que faire se peut, ce plaisir auquel elles aspirent. Mais ce n’était pas une solution car plus j’arrivais à leur donner du plaisir, plus elles voulaient m’en donner en retour. Et là, pataras ! Bernicle. Rien. Pouic. Que dalle. Nada. La panne. La catastrophique panne. Il suffit que je pointe ma virilité à l’entrée douce, chaude et humide d’un vagin accueillant et qui ne demande plus qu’à être besogné, pour que je devienne ramollo. Et avec, le moral qui s’effondre aussi. Sans compter les mensonges à inventer, pour excuser « cette interruption momentanée de l’image et du son ». Avec Marie-Gabrielle, dès la première fois, le fiasco est terrible, humiliant. Non seulement je me ramollis lamentablement à l’entrée de sa voluptueuse et soyeuse jeune chatte, humide à souhait, qui brille de cyprine à force d’astiquer, sucer, mâchouiller, aspirer son clitoris qui pointe haut au-dessus de ses lèvres brunes et imberbes, mais en plus, dans un élan de ma générosité mal contrôlée, et totalement incontrôlable, je me répands largement, en même temps, sur son ventre légèrement ...
«12...678...12»