Ursula, coach très perso (1)
Datte: 25/11/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
frousses,
médical,
complexe,
bizarre,
amour,
revede,
Oral
pénétratio,
init,
journal,
humour,
... je suis passé au rang de « tombeur de la bande ». Comment cela s’est-il fait ? Je n’en ai pas la moindre idée. Tout ce que je sais, c’est que je me suis retrouvé, à diverses reprises, au centre de cercles d’amis et de copains, entouré de jolis minois, sans qu’Ursula soit au courant – car autrement elle aurait rappliqué dare-dare. Et tous ces jolis minois me faisaient, d’une façon éhontée, du gringue et du rentre-dedans. Je n’avais qu’à claquer des doigts et une, deux et même quelquefois trois filles étaient prêtes à se jeter à mon cou et à me suivre jusque dans ma chambre. Mais là, malheureusement, je savais que le seuil passé, mes maux allaient refaire surface. Alors je me contentais de rester vague, flou, de flirter sans jamais aller plus loin. Et de mon étiquette de «tombeur de la bande », je suis passé à celle de « fidèle » en amour tout en étant « libre ». Une liberté enviée par bon nombre d’entre eux, car ils pensaient alors que ma compagne ne pouvait être que « formidable et exceptionnelle » pour accepter et tolérer mes flirts. Voilà. Je n’ai jamais eu le courage de leur avouer cette vérité première et criante : qu’en réalité, la belle Ursula me coachait en matière sexuelle. Et tandis que je faisais le joli cœur au milieu d’un cercle de jeunes femmes qui cherchaient toutes à coucher et à se caser, ma thérapie continuait. Plus tard, j’ai osé avouer à Ursula ce qui s’était réellement passé. Elle a souri et m’a expliqué que cela était tout à fait normal et même qu’elle ...
... avait fortement espéré que ce type de situation se produise. Juste qu’elle était un peu déçue de mon manque de confiance en elle et elle me reprocha de ne pas m’en être ouvert à elle, lors de nos rencontres. Des confidences qui lui auraient permis de mieux m’aider encore. Mais, bon, le mal était fait. Doté de cette fausse aura de « tombeur », au fur et à mesure que nos rendez-vous avançaient avec de « brèves rencontres », ma technique s’affermissait. Je prenais de plus en plus confiance en moi. En tout cas pour ce qui était d’aborder une femme. Pour conclure, c’était encore une autre paire de manche. Il fallait toujours lui faire admettre la présence d’une tierce personne : Ursula, et c’était bien souvent là que les choses se compliquaient ou cassaient. Mais heureusement, ma roue de secours s’appelait Marie-Gabrielle et était totalement disposée à accepter la présence d’Ursula lors de nos rapports intimes. J’ai rencontré Marie-Gabrielle dans une soirée bon chic bon genre, où tout le monde s’ennuie à mourir en se demandant pourquoi il faut être là, d’autant qu’il ne se passe rien et que rien n’arrivera. Bref, c’est au coin d’un buffet qui avait été splendide et bien fourni mais qui, en peu de temps, ressemble au Sahara après une attaque de criquets, que nous échangeons une série de banalités et lions connaissance. Mais nos yeux semblent parler un langage différent de nos lèvres. Et, sans bla-bla inutiles, nous décidons unanimement de nous éclipser et de rejoindre mon antre pour ...