Louise
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
poilu(e)s,
bain,
campagne,
facial,
Oral
pénétratio,
uro,
À l’époque où ces faits se sont passés, Louise avait déjà 63 ans et moi tout juste 19 ans. Mes parents venaient d’acheter une maison de campagne dans ce petit village perdu au centre de la France, un coin hyper-paumé où il n’y avait rien à faire… Encore une idée de mon père ! Et moi, cette année-là, je n’avais pas pu échapper aux vacances en famille dans ce trou perdu. Je venais de rater mes examens et je devais les repasser en septembre. Alors, inutile de dire que le paternel ne m’avait guère laissé le choix, et c’est avec tristesse que j’avais vu partir ma copine en Espagne où nous devions faire une virée avec des amis. J’étais donc coincé au beau milieu de nulle part. Je passais mes journées à tourner en rond. Je n’avais guère envie de bosser, je remettais toujours toutes ces satanées révisions au lendemain. Pour tuer le temps, je passais mes journées à me balader ici et là, sur les sentiers de randonnée, ou alors j’allais à la pêche. Il n’y avait guère que ça à faire dans ce bled paumé. Au mieux, en fin d’après midi, j’allais au troquet pour boire un godet ou pour manger une glace. Je rencontrais parfois quelques jeunes désœuvrés qui avaient eu la malchance d’atterrir là, tout comme moi. Quelques jeunes branleurs, mais pas de quoi faire la fête. Pour la plupart c’était des fils de paysan qui étaient étudiants à la ville, ils venaient passer un peu de temps avec leurs vieux… Et dire que ma copine m’envoyait des cartes postales ensoleillées ! Il y avait vraiment de quoi ...
... être écœuré. La première fois que j’ai rencontré Louise, c’était un soir après dîner. Nous étions voisins et ma mère l’avait invitée par politesse à venir manger le gâteau. Il faut dire que maman était un peu comme moi, elle commençait vraiment à s’ennuyer ferme dans ce trou à rats et elle recherchait désespérément la compagnie des voisins. Pourtant Louise n’était pas le genre de femme dont elle aurait pu se faire une amie. C’était vraiment une paysanne pure souche, elle n’avait jamais quitté sa vallée et n’avait même pas la télé. Quant à ma mère, tout au contraire, c’était une parisienne convaincue qui passait son temps devant le petit écran. Autant dire que les deux femmes n’avaient pas grand chose à se raconter. Petite, râblée, un peu boulotte, Louise avait de longs cheveux gris qui lui donnaient l’aspect d’une vieille femme. Vêtue sans grâce, à la paysanne, souvent avec un tablier, elle n’était bien entendu ni maquillée ni même peignée, et ne faisait aucun effort pour se mettre en valeur. Pourtant, malgré ses rides et son teint fané, des traits fins indiquaient qu’elle avait dû être jolie à une certaine époque. Cette voisine n’étant guère causante, ma mère en eut vite fait le tour. Tout juste apprit-on que ses parents étaient originaires de Bretagne, et qu’ils avaient atterri là on ne sait trop comment, quelques mois avant la naissance de la petite Louise. Et puis, l’année de ses 16 ans, on l’avait mariée à un voisin plus âgé qui possédait quelques arpents de terre. Ils ...