Louise
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
poilu(e)s,
bain,
campagne,
facial,
Oral
pénétratio,
uro,
... jamais eu de ses nouvelles. — De toutes façons, je suis une vieille femme, et ces choses-là ne sont plus de mon âge. Je lui assure que « non », qu’on peut faire l’amour à tout âge et qu’elle est encore très désirable. Elle sourit gentiment : — Merci, Éric, pour ce joli compliment, mais je me vois dans la glace, je suis réaliste. Non, justement, elle ne se voit pas, et moi je la trouve encore très «bandante». Ce mot de bandante s’échappe de ma bouche, j’essaie de le récupérer et, du coup, elle éclate de rire. — Voyons Éric, ne soyez pas gêné, la spontanéité est l’apanage de la jeunesse, exprimez-vous comme bon vous semble, je ne fais pas œuvre de censure. Et nous rions cette fois tous les deux lorsque je réitère mon compliment. Mais cette fois je parle très fort et très distinctement : — Oui, Louise, c’est vrai, je vous trouve très bandante avec votre tenue débraillée et la vision de ce sein que je trouve si excitant. Du coup elle se rafistole prestement. — Allons Éric, petit coquin, voyons, calmez-vous, je ne suis qu’une vieille femme. Elle se lève et se prépare à partir en balade. Mais en a-t-elle vraiment envie ou est-ce uniquement pour faire diversion, parce qu’elle a peur que ce genre d’allusion ne tourne mal ? Et moi, je ne sais pas ce qui me prend, est-ce le fait d’avoir parlé ainsi, mais je me mets vraiment à bander à fond pour cette vieille femme. Nous partons en excursion par cette journée radieuse. Elle a mis un pantalon en toile et des grosses chaussures de ...
... marche, ce qui lui donne un aspect encore moins féminin. Et, en haut, une vieille liquette à carreaux. Elle file bon train le long d’un petit sentier vallonné. Finalement, je dois reconnaître qu’elle a une sacrée santé alors que moi qui ne suis pas très sportif, j’ai bien du mal à suivre. Enfin parvenus de l’autre côté de la montagne, nous descendons vers le ravin. L’endroit est plus frais et très verdoyant, le torrent qui glousse en contrebas nous incite à accélérer le pas pour nous désaltérer. Nous arrivons en bas, et c’est vrai que le cadre est magnifique. À cet endroit, le torrent s’élargit et forme un petit lac d’eau très claire, avant de replonger à nouveau en contrebas, dans une cascade tonitruante. Engoncé dans la montagne, protégé du soleil par une végétation luxuriante qui contraste avec l’aridité du plateau, ce lieu est à proprement parler paradisiaque et nous y sommes seuls au monde. Louise retire ses chaussures de marche pour faire trempette dans l’eau glacée. Je l’y rejoins, l’eau froide est vivifiante. Après avoir soigneusement relevé les jambes de nos pantalons, nous avançons un peu plus avant dans cette petite piscine naturelle creusée dans la roche. Et puis soudain, catastrophe ! Louise glisse sur une pierre, essaie désespérément de se retenir à moi mais, trop tard, elle plonge de tout son long dans l’eau glacée, heureusement peu profonde à cet endroit. Elle se relève, elle est mouillée de la tête aux pieds, elle grelotte à moitié. Je l’entraîne vers la berge en ...