1. Louise


    Datte: 26/11/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, poilu(e)s, bain, campagne, facial, Oral pénétratio, uro,

    ... avaient vécu heureux mais n’avaient pas pu avoir d’enfant. Et son pauvre mari n’avait pas eu non plus le loisir de profiter de sa retraite, un cancer l’ayant terrassé en quelques mois, il y a de ça presque 10 ans. Louise ne s’ennuyait pas ici, elle avait deux ou trois amies au village, fréquentait assidûment le bibliobus et surtout adorait se promener dans la campagne et flâner dans les bois. Comme je faisais la moue en ayant l’air de dire que je me faisais chier à cent sous de l’heure, elle nous invita, ma mère et moi, à venir faire une promenade avec elle le lendemain. Elle nous dit qu’il y avait de très jolis petits coins à visiter dans la région. Mais ma mère, qui n’est vraiment pas une marcheuse, et qui préfère de loin les salons à la cambrousse, déclina l’invitation. — Et vous Éric, vous viendrez ? Me voici donc le lendemain vers quatorze heures à frapper à la porte de cette voisine. Elle finit par ouvrir, les cheveux en bataille et la robe à moitié débraillée. Visiblement je l’aavais réveillée, elle était en train de faire sa sieste. Je m’en excuse, elle m’invite à entrer, me propose un café. — Oh Éric, il est un peu tôt pour partir en promenade, surtout sous ce soleil de plomb, je pensais plutôt y aller vers les 4 heures. Mais puisque vous êtes là, vous allez me tenir compagnie. Je m’assois donc dans le fauteuil et elle sur le canapé. Sa robe à moitié dégrafée laisse entrevoir un soutien-gorge ordinaire et le haut de ses seins est relativement rebondi. Ça n’a pas ...
    ... l’air de la gêner outre mesure de se présenter ainsi débraillée. Pour elle je ne suis sans doute qu’un jeunot et elle une vieille femme, et il n’y a donc rien de sexuel entre nous. Mais, en ce qui me concerne, à 19 ans, rien que de voir un bout de nichon, même si c’est celui d’une vieille femme flétrie, ça m’émoustille au plus haut point. Il faut dire, à ma décharge, qu’après plusieurs semaines de solitude, j’ai des envies salaces et les couilles prêtes à exploser. Tout en discutant, je ne peux m’empêcher de revenir régulièrement sur son bout de sein. Elle est beaucoup plus causante que la veille, sans doute ma mère l’a-t-elle intimidée. Elle me parle de ses centres d’intérêt et en particulier de ses lectures… Elle me demande si j’aime lire. Non, j’ai horreur de ça, mis à part les bd et les romans de science-fiction. Mais je me sens en confiance avec elle, à tel point que je finis aussi par lui avouer que je lis aussi des livres de cul et des revues pornos. Elle n’a pas l’air de s’en formaliser. Malgré son âge, elle semble très compréhensive. De fil en aiguille nous en arrivons à des sujets plus personnels. Je lui parle de ma petite amie. De mon côté, très indiscret, je cherche à savoir si elle a quelqu’un dans sa vie. Elle me dit que « non », qu’elle n’a vraiment personne. Très franche, elle m’avoue, sans ambages, qu’elle n’a eu qu’une seule aventure sans suite depuis son veuvage. C’était il y a quatre ans avec un vacancier de passage mais, après les vacances, elle n’a plus ...
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