1. Louise


    Datte: 26/11/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, poilu(e)s, bain, campagne, facial, Oral pénétratio, uro,

    ... lui frictionnant le dos. Mais ça ne suffit pas, ses vêtements détrempés vont lui donner la crève. Je lui propose mon t-shirt et mon jean. Dessous je suis en caleçon et, avec un peu de chance, ses habits vont sécher rapidement. Sur ses injonctions, je me retourne pudiquement pour qu’elle puisse se changer. Puis nous nous asseyons sur une pierre après avoir étendu ses vêtements au soleil ; culotte et soutien-gorge compris, tout était trempé. Elle est là près de moi, dans mes habits trop grands pour elle, les seins nus sous mon t-shirt et la foufoune à l’air dans mon jean. Je ne peux pas m’empêcher de penser à tout ça et ça me donne la trique et, comme je suis en caleçon, j’ai un peu de mal à cacher mon état. Ma bite se redresse inexorablement. Dire qu’elle est là, à quelques centimètres de moi, entièrement nue sous mes habits, je ressens presque sa chaleur. C’est fou l’effet que ça me fait… Mais, restons calme, cette femme a quand même l’âge de ma grand-mère ! — Ça va, Louise, vous n’avez plus froid ?— Oh non, ça va. Je me réchauffe au soleil.— Vous aimeriez que je vous frictionne ?— Je crois que ce ne serait pas très raisonnable dans votre état. Je rougis jusqu’aux oreilles. Merde, elle a remarqué. Percé à jour, je baisse les yeux, gêné et honteux de mes pensées salaces. — Ecoutez Éric, je vais vous confier un secret, mais il ne faudra jamais que ça se sache— Que ça se sache, quoi ? Et là, l’incroyable se produit ! Elle se relève devant moi et ôte le t-shirt. Je n’en crois ...
    ... pas mes yeux, ses seins lourds et tombants sont entièrement nus devant moi. Elle me regarde fixement et son regard pétille. — Alors, ils vous plaisent ?— Enormément. Quelle poitrine d’enfer, ils ont beau être tout ce qu’il y a de plus tombants, ils sont néanmoins terriblement excitants. Mes yeux ne se détachent plus des appendices mammaires. — Ne me dites pas que votre copine n’en a pas de plus beaux.— Les vôtres sont diablement excitants ! En disant ceci, je suis vraiment sincère. Louise a beau avoir les cheveux tout gris, elle n’en est pas moins femme et attirante. Et la voici maintenant qui laisse tomber le pantalon sur ses chevilles, qui s’offre entièrement nue devant mes yeux émerveillés. Sa chatte est très poilue et grisonnante, son bassin est large, ses fesses sont encore remplies mais un peu molles… Je suis aux anges, émerveillé de la voir ainsi s’exhiber entièrement dans ce décor champêtre. Et j’ai très, très envie d’elle. Je la trouve tellement bandante. Serait-ce une invitation ? Ma bite est très dure et bien dressée. Je me relève et enlève mon caleçon à mon tour pour lui montrer mes attributs. Nus comme des vers sur le rocher, nous nous regardons un long moment. Elle regarde fixement mon jeune dard qui pointe vers le soleil. — Louise, vous voyez l’effet que vous me faites, vous voyez comme je vous trouve bandante ! Bien sûr qu’elle le voit, elle ne voit plus que ça. Certes, elle n’est plus toute jeune, certes elle a vécu sa vie, certes elle est un peu abîmée par le ...
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