Louise
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
poilu(e)s,
bain,
campagne,
facial,
Oral
pénétratio,
uro,
... temps, mais je n’en bande pas moins comme un ours pour elle. Je m’approche d’elle, je l’enlace, elle tend sa bouche vers moi, je lui roule une pelle passionnée en caressant ses seins, comme j’aurais fait à une copine. D’ailleurs je ne fais plus vraiment la différence. Elle a très envie, ça se sent. Elle est très chaude et sous l’emprise d’un désir fou. Sans hésiter une seule seconde, la voici qui s’agenouille devant moi et engloutit mon vit sans sourciller. Elle me pompe avec entrain. Hum ! Cent fois mieux que ma copine, elle est plutôt douée, elle fait ça bien. Je baisse les yeux vers elle, elle me regarde avec envie en léchant mon bâton avec appétit. C’est particulièrement excitant de se faire sucer ainsi. C’est tellement bon que je lui prends la tête et l’attire à moi en gémissant. Elle me branle en me léchant, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps. Elle est folle, à ce rythme, je vais jouir très rapidement. Je la sens de plus en plus excitée, de plus en plus gourmande. J’atteins le point de non-retour. Elle me ressort au dernier moment et s’asperge copieusement le visage tout en fermant les yeux. C’est merveilleux, elle est couverte de sperme, sur la bouche, sur la figure et dans les cheveux. Des gouttes de jus roulent sur ses joues… Le temps de reprendre mes esprits… C’est alors à mon tour de la faire allonger sur la roche et de me mettre entre ses cuisses. Son odeur est très âcre, presque entêtante. Mais, loin de me faire fuir, cette odeur m’excite au plus au point. ...
... Je ne me reconnais pas, moi qui ne veux jamais manger l’abricot de ma copine lorsqu’elle n’a pas pris sa douche. Mais aujourd’hui cette vieille chatte poilue très odorante me rend fou. Je le bouffe sans retenue, j’écarte ses lèvres pendantes et aspire le jus de sa chatte comme s’il s’agissait d’une huître. Je suis vorace, plein d’appétit, j’ai envie de tout bouffer. Me voici même en train de lui sucer le cul en pétrissant ses fesses. Elle me rend fou. Je continue à la dévorer comme ça encore de belles minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche, secouée par une série de spasmes impressionnants. Elle laisse échapper de son sexe un liquide chaud et acide dont je me délecte avec ravissement. La jouissance est telle qu’elle ne peut plus se retenir. La voici qui me pisse carrément dans la bouche. J’avale tout, j’adore son jus, j’adore sa jouissance. Remise de ses émotions elle tente vainement de s’excuser de cette débauche de liquide mais je lui réponds que j’ai adoré qu’elle m’éclabousse de son jus chaud. La tornade est passée, mais j’ai à nouveau envie de la toucher. Je caresse ses seins lourds, je les pétris, je les soupèse, je les tête aussi. Ses gros nichons me font bander, c’est plus fort que moi, les bouts sont durs, c’est merveilleux. Je m’acharne sur sa poitrine : — J’aime vos gros nichons, vos gros nibards me donnent la trique. Je suis peut-être trop vulgaire, mais ça a l’air de l’exciter. De nouveau la voici entre mes cuisses en train de me sucer. Mais c’est une ...