1. Le cul de Suzon


    Datte: 26/11/2017, Catégories: fh, hplusag, frousses, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fdanus, fsodo, aliments, portrait, attirautr,

    ... chair les aventures de la pauvre Bé et de son cruel beau-père. J’ai abandonné la culotte à mi-cuisse et je me suis enfoncé dans le fauteuil, épuisé et ravi comme un sportif après un intense effort couronné de succès.« Voilà, c’est fait, il est à moi », ai-je pensé, tout en me noyant dans la contemplation du superbe paysage. Ce cul bénit, cet astre rayonnant, chaud comme un soleil et pâle comme une lune. Une lune pleine et brillante qui m’attirait aussi sûrement que sa grande sœur attire les marées. La courbe parfaite que dessinaient les deux miches charnues et leur jolie teinte rose propre aux rousses semblaient sorties tout droit du pinceau de Renoir. J’ai glissé mon regard dans le ravin profond. J’ai ressenti la chaleur brûlante qui grandissait tandis que je m’approchais du pelage roux et brillant de sa petite chatte que je pouvais discerner sous ses superbes fesses. Je crois qu’elle a bien dû me lire trois chapitres avant que je me résigne à interrompre ma contemplation. À partir du deuxième, elle avait commencé à se caresser le minou, timidement d’abord, plus librement ensuite, trébuchant de plus en plus souvent sur les mots, interrompant son récit pour laisser échapper de profonds gémissements chaque fois que ses doigts la conduisaient plus près de l’extase. Je ne pouvais pas la laisser plus longtemps dans cet état. Sa chatte avait faim d’une queue, une belle grosse queue de mâle capable d’éteindre le feu qui lui enflammait le ventre. Et, en toute modestie, la nature ...
    ... m’a pourvu de tout ce qu’il faut en la matière. Je me suis donc avancé derrière elle, mais avant de lui offrir ce gourdin qu’elle était impatiente d’accueillir entre ses cuisses, je me suis d’abord rassasié de ses chairs que j’ai caressées, palpées, malaxées, pétries de mes doigts affamés. J’ai écarté ses collines charnues pour découvrir une jolie petite rondelle carmin qui s’est timidement refermée lorsque je l’ai frôlée du bout des doigts. La jolie Suzon n’était visiblement pas une assidue de la sodomie, pour autant qu’elle ne l’ait jamais pratiquée. J’ai pressé le cercle fripé du bout de l’index et elle s’est arrêtée de lire tout en contractant timidement son anus. J’ai gardé le doigt posé sur la porte de son cul durant de longues secondes, puis j’ai enfoncé une phalange, doucement, lentement, admirant l’élasticité du sombre orifice, regardant fasciné le tremblement de ses fesses, tandis que mon doigt disparaissait peu à peu dans ses entrailles. Le doigt toujours enchâssé dans son cul, j’ai joué avec les chairs trempées de sa chatte, sentant glisser entre mes doigts les rivières de liqueurs s’échappant de son volcan en éruption. Elle jouissait, râlait, m’appelait « Beau P », m’implorait de la baiser, enfin. — … j’ai… j’ai des préservatifs dans le tiroir de la table, prenez-moi, je vous en supplie ! Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en pensant à la timide Suzon que j’avais abordée quelques heures plus tôt et qui n’arrêtait pas de me surprendre. Je ne l’ai pas fait languir ...
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