1. La cave


    Datte: 27/11/2017, Catégories: fh, inconnu, parking, volupté, Oral nopéné,

    ... l’a toujours fascinée. — Vous aussi, vous sentez bon, répète-t-il. Il accompagne sa remarque en respirant ses cheveux puis souffle doucement contre son oreille. Elle retient quelques frissons comme lorsqu’elle a froid, tremble doucement. Elle sent ses mains prendre ses fesses par-dessus sa robe, froisser le tissu. Il dénude ses cuisses et mord son cou. Elle frémit, ses bras entourent son dos, le serrant contre elle. Elle prend sa tête et l’embrasse. Sa langue cherche la sienne. Elle veut sa salive, le goût de sa bouche. Son bassin s’avance à la rencontre de la verge gonflant le pantalon. Elle se cogne contre lui. Elle se sent femelle, elle veut un mâle. Il tombe à genoux. Sa tête se glisse sous la robe, ses mains attrapent la culotte, la tire vers le bas. Il caresse ses jambes au passage, l’aide à dégager ses pieds, jette le morceau de nylon dans le noir. Elle n’entend que son souffle excité. Elle est dégoulinante de désir. Lorsqu’il enfonce sa langue dans ses poils et fouille sa chatte, elle gémit. Ses mains prennent sa tête par-dessus la robe. Ses pieds se cambrent. Les hanches en avant, elle accompagne les coups de langue sur son clitoris en haletant, tire le visage de l’homme pour l’écraser sur son sexe. Elle sent le plaisir proche. Ses fesses ne sont plus que muscles bandés dans un effort presque douloureux. Il la lèche fébrilement. À l’instant où il enfonce deux doigts dans son ventre offert, la lumière du couloir se rallume et le plaisir explose en vibrations, faisant ...
    ... trembler ses cuisses tendues. Émergeant du noir, elle se réalise soudain les épaules contre le mur, jambes ouvertes, pieds cambrés, ventre en avant, tenant la tête d’un homme qu’elle ne voit pas sous la soie de sa robe. Ses gémissements s’éteignent doucement au rythme de la langue qui épouse tendrement les contours de sa fente. Son souffle retombe. Elle veut partir, surtout ne pas revoir tout de suite le visage de cet homme. Elle se sent soudain honteuse, affreusement gênée. Elle voit sa culotte au milieu du couloir, rougit. Comme il semble vouloir se relever, elle le pousse et il tombe en arrière. Elle part en courant sans se retourner. — Où allez-vous, lance-t-il ? Elle ne répond pas, incapable d’affronter la vérité à cet instant. Très vite, elle retrouve son chemin en suivant les inscriptions peintes en blanc sur les murs de la cave. L’escalier, vite, il faut qu’elle voit le soleil, lave cet instant d’égarement à la lumière du jour. Elle monte en courant. Tout est allé trop vite. La silhouette d’un homme descend à contre-jour dans l’encadrement de la porte. — Bonjour !— Bonjour !— Vous n’avez vu personne en bas ?— Non, dit-elle en rougissant.— Vous me reconnaissez ?— Non, je ne vous vois pas à contre-jour.— Je suis votre nouveau voisin. J’ai emménagé hier, on s’est croisé dans l’escalier.— …— Bon je vous laisse. J’ai envoyé un copain chercher un truc dans la cave, mais je crois qu’il s’est perdu. Il descend les marches rapidement et crie « Ho Manu, qu’est-ce que tu fous ? ...