1. Le bar de nuit


    Datte: 27/11/2017, Catégories: fh, danser, fsoumise, hdomine, Oral sm, BDSM / Fétichisme

    ... sur les côtés qui ne demandent qu’à être dénoués. — Tu accéderas à ma vertu quand tu le désireras. Ce qu’il fait aussitôt. Il l’amène sous l’insolite appareil qu’il vient de construire, sorte d’échafaudage composé d’un cadre massif qui supporte des chevrons horizontaux percés de trous à hauteur régulière pour y passer des cordes. Un treuil électrique coiffe l’installation. Elle s’inquiète de cette machinerie aux effets démultiplicateurs, des roulements aux bruits lourds ; elle se rassure de la maîtrise qu’en a Pierre. — Allonge-toi sur le tapis. Pierre fixe une barre chromée au creux de ses genoux. La corde de chanvre qui enserre jarrets et mi-cuisses résistera à toute pression. Un mousqueton cramponne la tringle à la chaîne du treuil. Qu’il actionne. Ses fesses décollent du sol dont elle n’est plus solidarisée que par les épaules. Suzanne se souvient du gymnase où lycéenne, elle excellait à la barre fixe. Comme elle aimait pirouetter dans les airs, tout comme danser ou patiner d’ailleurs. — On continue. Le palan s’enclenche et la dresse à la verticale. Elle s’équilibre de ses mains sur le parquet. Elle a quitté le sol. Vu de profil, son corps aux muscles bandés dessine une arcade qui aurait pour clef de voûte son pubis glabre. L’impuissante pose ses mains sur sa tête comme pour annuler l’étrangeté de la position renversée. Il balance la trapéziste entravée. Ses cheveux balayent le sol à chaque passage de la perpendiculaire. — Tu as toujours un aussi beau cul. Une poitrine ...
    ... accomplie aussi. La gravitation inversée lui donne un aérien gonflant, ajoute-t-il en tirant un téton entre pouce et majeur. En conquérant, il palpe le gras de ses cuisses, empoigne ses fesses, les écarte, dévoile ses orifices : l’œillet crispé de son rectum et les crêtes purpurines et brillantes, gardiennes oisives de son écrin. — Dans cette posture, ta moule ne peut que s’ouvrir ! Elle se lâche de tout son poids, le ventre rentré, scrutant la pièce qu’elle redécouvre à l’envers. Curieuse vision où ce sont les rayonnages des étagères qui prennent le plus d’importance, chaque livre ou bibelot semblant vouloir s’en expulser. Entre ciel et terre, le moindre de ses mouvements fait vriller la corde. Suzanne tournicote, relève la tête, se démantibule, enrage, bave comme une petite folle, combat perdu qui l’épuise et la laisse pantelante, ce qu’elle refuse en sollicitant ses muscles qui travaillent en vain. Il rassemble sa chevelure pour y fixer un élastique et à l’aide d’un brin de raphia, tresse ses cheveux barbaresques en une queue de cheval domestique. Ses yeux le lorgnent. Le résultat n’est pas trop mal. Pierre enserre une cordelette à la base de la coiffure qu’il attache à son gros orteil pour la maintenir cambrée. Immobilisation suprême. Plus une seule fibre musculaire ne peut se détendre. Mais l’assemblage, pour excitant soit-il, causerait trop de courbatures et il la délie. Son buste retombe comme un linge trempé. Ne gardant que sa chemise ouverte, en appui sur ses jambes, ...
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