1. Le bar de nuit


    Datte: 27/11/2017, Catégories: fh, danser, fsoumise, hdomine, Oral sm, BDSM / Fétichisme

    ... Pierre s’apprête à la fouetter. De son bras roulant, il imprime des oscillations au martinet, sa victime encaisse les lanières qui meurent sur sa peau en un son chaud. Elle lève la tête au ciel au temps de l’impact. Les serpentins couvrent l’ensemble d’une fesse. Il cingle rapidement. Elle balance sa tête au rythme des calottes, appréciant les égratignures du cuir mordant qui la répare de la vie, l’abdomen palpitant. Chaque atteinte la fait se cabrer et dresser sa chatte. Elle se contracte, tente de se faire carapace, mais son épiderme n’est qu’hypersensibilité, sismographe qui amplifie les stimuli. C’est au tour des nichons d’être étrillés. Les masses laiteuses sont attaquées à cœur. Secouées, elles reprennent leur place avant un nouvel assaut. Retour sur la croupe colorée. Des stries s’y gravent. Elle éructe de gutturaux jappements, sonorisation duplicative des volées devenues régulières. Elle le sonde, avant de baisser son regard vers le sol. C’est l’abdication aux coups qui attisent les terminaisons nerveuses et dilatent artères et veines, prémices de la transe jouissive qu’elle prend à ce jeu. Son corps hoquette, ses reins se congestionnent. Démissionnée, flottante, elle n’émet qu’un petit râle à chaque impact pour économiser l’air. Le sang lui monte à la tête. Sa mine écarlate est comme le cœur d’une comète flamboyante qui se disperserait dans ses mèches rougeoyantes. Un filet de salive s’étire de sa gueule ouverte. Le corps de Suzanne, raide et comme vidé, ne ...
    ... respire que par les palpitations de son diaphragme. Elle le voit bander, il bande parce qu’elle frémit. Un nouveau tour de manivelle et la voilà pile à la hauteur de sa bite qu’elle boit de son mieux. Satisfait, il soulève sa tête d’une main, caresse sa bouille empourprée et l’étreint à pleine bouche. Succulent plaisir d’être embrassée enfin. Elle laisse la langue de Pierre envahir son palais. Mais la pause est courte. Il fait courir un glaçon sur sa fesse qui chairdepoule. Poursuite sur sa colonne vertébrale où se mêlent détente et surprise. Promenade sous les aisselles tièdes avant le frigorifique bouchonnage de sa rose inquiète qui se recroqueville sous le contact du glaçon. En guise de réparation, il entame sa botte préférée ; il lui broute le minou de sa langue fondante. Elle y succomberait, mais elle fait le choix d’une jouissance complice. — Fais-moi l’amour sur le plancher des vaches, revendique-t-elle. Détachée, elle donne toute sa mesure, imposant à la bite impétueuse la cadence d’un piston de locomotive à vapeur. — Encore ! lance-t-elle, galvanisée, les seins aplatis sur son torse tandis que sa bouche essaye de le bécoter entre deux soubresauts. L’amazone s’est retournée et lui présente son dos, viole de gambe ensorcelée par un air exotique de Marin Marais. Il tire sur sa tresse, rêne commode pour renforcer les impulsions alors qu’en appui sur les mollets de Pierre, elle tangue des hanches pour exciter son amant. Suzanne se penche pour observer son antre où la bite est ...
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