Théâtre
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
cocus,
Masturbation
... par-dessus le pantalon, et a commencé de lents mouvements circulaires, je me suis tourné et lui ai roulé une gamelle. Ça m’a fait drôle, au bout de tant d’années ces autres lèvres que celles de ma femme… Du coup je n’y ai pas forcément pris du plaisir tout de suite, et ça a même fait retomber mon début d’érection : Maud s’est reculée, interrogative. Ma femme et Julia se posaient moins de questions sur leur canapé, et étaient maintenant vautrées l’une sur l’autre, indifférentes à nous, se mangeant le visage, se caressant de manière désordonnée, empêtrées dans leurs vêtements chiffonnés. Très vite, Anne a fait passer la robe de Julia par-dessus tête : nue en bottes et bas, superbe dans ses 30 ans, je ne pouvais qu’admirer. Vêtements et dessous de ma femme ont suivi… Encore pas mal elle aussi, et un petit triangle taillé de frais ! Je me contorsionne pour aider Maud à tirer mon pantalon, le slip part avec et je jette chemise et chaussettes pour pas avoir l’air trop nul. Pendant ce temps, elle a fait glisser robe et sous-vêtements (très sexy, dommage !) en un tour de main, ne conservant que ses bas. Elle s’agenouille entre mes jambes et entreprend de me redonner de la vigueur. Je mate son corps svelte et dessiné malgré son âge, ses seins au léger abandon charmant, son petit abricot tout lisse qui appelle la langue… Elle s’applique de sa bouche sur mon sexe qui a retrouvé toute sa superbe, en me fixant droit dans les yeux, en chienne confirmée. Je profite de ses talents, ...
... totalement passif. Et ils sont réels ! Que ce soit de la bouche le long de ma tige, alternant léchages, succions et même morsures délicates ou des mains sur mes boules ou le périnée, son art consommé me fait rapidement monter en pression et il faut que je l’arrête si je ne veux pas déjà tout lâcher : je l’attire vers moi, lui mordille les oreilles, les lèvres, m’attarde dans son cou, avant de descendre vers sa poitrine aux tétons érigés : j’enfouis mon visage entre les globes généreux et essaie moi aussi de déployer toute mon habileté. Ma main caresse son ventre et se glisse entre ses jambes, j’effleure d’abord les sillons tout doux qui séparent les grandes lèvres du dodu des cuisses, je la sens se tendre en attente de la suite, je joue avec ses lèvres, promenant mes doigts sur les faces internes et externes, sans insister pour mêler plaisir et frustration, tandis que ma bouche ne reste pas inactive sur sa gorge. Je me fais plus intrusif, et mon majeur pénètre par instants son vagin, en cajole les parois, ressort, hésite autour de son petit bouton, je sens l’attente de l’instant où je m’en saisirai. Mais je ne fais que l’effleurer, provoquant une onde dans tout son corps à chaque passage, elle retient sa respiration pour repartir en longs soupirs… Enfin je sens le moment venu, et avant de l’agacer, entreprends un lent massage du clito, alterné de caresses de sa vulve. Je pince, je roule, je pénètre. Ses gémissements suivent mon rythme, en un lent crescendo, dont on ne sait lequel ...