1. Théâtre


    Datte: 01/12/2017, Catégories: ff, ffh, fbi, cocus, Masturbation

    ... accélère l’autre. À la limite de la conscience, répondent d’autres râles qu’échangent les filles sur leur canapé. Très vite, Maud s’arcboute et exhale son plaisir dans un feulement rauque, puis fébrile, se retourne, se saisit de ma queue et s’y embroche : elle donne le rythme, urgent et saccadé, se baise seule avec violence, monte, descend, échappe parfois, je lui mords les épaules, malaxe ses seins. Il faut peu de ce traitement pour que j’expulse de larges rasades dans ses entrailles, qui la font venir elle aussi à nouveau. Et les corps se relâchent… La conscience revient vite… eh merde, le préso ! Tant pis… Maud est alanguie contre ma poitrine, toujours empalée sur ma verge qui se ramollit peu à peu, je sens le poisseux de mon sperme, que j’ai l’impression d’avoir éjaculé par litres, se répandre doucement sur mon ventre. Anne et Julia, plus endurantes que nous, indifférentes au monde, sont maintenant en tête-à-queue, les corps soudés et se dévorent leur entrecuisse, clapotis, soupirs, gémissements… Je tends le bras vers la bouteille de vin, sans trop bouger pour conserver Maud contre mon torse, je m’en saisis du bout des doigts et bois de longues gorgées directement au goulot. Sans vraiment émerger, Maud me la réclame et nous asperge en essayant de faire pareil, elle retrouve toute sa vitalité et son rire éclaire la pièce. Mon sexe toujours en elle se tend légèrement, elle démarre alors une lente rotation sur ce pivot qui durcit, referme les yeux et miaule comme une chatte ...
    ... : c’est reparti, mais à un rythme apaisé, tout en douceur. Je suis venu une deuxième fois. Pas Maud, mais je pense qu’elle a tout de même apprécié ce moment câlin. Mes autres femmes en ont profité pour disparaître, je n’ai pas encore le courage de partir à leur recherche et peut-être n’est-ce pas une bonne idée. Maud se désolidarise, elle me mange de baisers avec un sourire craquant, presque amoureux (et ça faut oublier !) puis file vers la salle de bain. Je reprends quelques goulées de vin pour me donner du cœur au ventre, et bouteille et verres en mains, je fais un tour du propriétaire : Anne et Julia ne sont pas allées bien loin, elles sont allongées sur le lit de Maud, sans même l’avoir défait et les yeux clos échangent de lentes caresses. Je dépose la boisson sur la table de nuit et m’assois au bord de la couche, du côté d’Anne, un peu inquiet de sa possible réaction, je lui passe ma main dans les cheveux, lui masse le crâne, ainsi que j’en ai l’habitude… Ouf, elle reçoit favorablement ma manifestation de tendresse, et ronronne tout bas, comme de coutume. Julia ouvre les yeux et me sourit : j’ai presque l’impression d’exister pour elle pour la première fois depuis l’étreinte du théâtre. Sans un mot, elle désigne la bouteille. Je la sers de la main gauche sans interrompre mes caresses. Demi assise, elle boit des deux mains, à petites gorgées, sans me quitter des yeux, ni cesser de me sourire. Enfin, elle se débarrasse du verre, m’attrape la main et m’attire sur le lit, et ...
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