Hamburgers, orgasmes & E.T.
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
2couples,
copains,
Oral
69,
pénétratio,
double,
sf,
... pas à y croire. — C’était y a combien de temps ? demandai-je d’une petite voix. La femme me jeta un œil vide et éteint. — Vingt ans. Vingt putains d’années. Depuis, ils traquent les survivants. Comme moi. Et comme vous, apparemment. Je ne l’entendais plus. Vingt ans ? J’étais dans le futur ??? — Vous êtes le premier non infiltré que je vois depuis sept mois, m’avoua-t-elle. C’est étrange, parce que… Elle me scruta attentivement. — Parce que ?— Vous me rappelez quelqu’un que j’ai connu dans le passé. Un collègue de travail. Brusquement, je sus. Les larmes me montèrent aux yeux. — On l’appelait « l’homme de Cro-Magnon », parce qu’il était encore le seul à se déplacer à pied, à ne pas utiliser les cabines de téléportation. J’aurais voulu qu’il sache que…— Farida, dis-je. C’est moi, Ben. FLASH ! Plus de liens. Je me retrouvai debout, éjaculant convulsivement sur le ventre et les cuisses de la serveuse brune. Sous le choc, je titubai en arrière et atterris sur les fesses. — Bordel ! Les cris de Max me parvinrent aux oreilles. Il étalait sa semence sur le visage de Jennifer, les yeux clos. J’essayai de prendre ma respiration, mais n’y parvins pas. La brune, sur le canapé, semblait prise de convulsions. Son corps tressaillait comme sous l’effet de décharges électriques. On voyait le blanc de ses yeux, et elle bavait. — Bordel ! répétai-je. Je reculai vivement et me cognai au mur, nu comme un ver. Épuisé, mon ami s’effondra sur le canapé, le souffle court. — Ah putain ! gémit-il, en ...
... se caressant le sexe. Trop bien ! Jennifer restait debout, devant lui et s’était mise à trembler légèrement, comme sa collègue. — C’était trop bon.— Max, murmurai-je, encore sous le choc de ce qui venait de se passer. Je ramassai d’une main mes habits éparpillés sur le sol. La brune se mit soudain à crier, en proie visiblement à une grande douleur, et se prit la tête entre les mains. — Sors ! glapit-elle. Sors ! Mon sang se glaça. Mon instinct me hurlait : « Fuis ! Fous le camp d’ici ! ». J’enfilai mon tee-shirt et mon pantalon à la hâte. Max ne semblait pas réaliser ce qui se produisait. Il ne réalisa que quelque chose clochait qu’au moment où Jennifer s’effondra devant lui, le corps agité de convulsions. — Il faut qu’on se barre ! hurlai-je. Je sautai sur mes pieds. — Max, ça a recommencé, tu vois ! J’ai encore eu une vision ! Il faut qu’on se barre, quelque chose se prépare !! Il jeta vers moi un regard un peu engourdi. — Max ! Je l’attrapai par les épaules et le secouai. Il restait amorphe, sans réaction, comme vidé de ses forces. La brune émit soudain un bruit rauque qui semblait venir du plus profond de ses entrailles. Un étrange liquide rosâtre sortait de ses narines. — Putain, Max ! Barrons-nous d’ici ! Je tentai de le lever de force. Il ne tenait pas sur ses jambes et s’écroula par terre, et il était trop lourd pour que je puisse le retenir. Jennifer, près de lui, avait également un liquide rosâtre et épais qui coulait de ses oreilles. Elle beuglait comme un animal. ...