Hamburgers, orgasmes & E.T.
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
2couples,
copains,
Oral
69,
pénétratio,
double,
sf,
... Épouvanté, ne sachant que faire, je reculai et me retrouvai dos au mur. Le marteau se trouvait à l’entrée de la cuisine, gisant sur le sol. Avant que je ne puisse esquisser un mouvement, la brune tomba au sol, convulsant violemment, le liquide étranger sortant de ses narines, oreilles et bouche. Une flaque bourbeuse ne tarda pas à se former près de son visage, dégageant une curieuse odeur de vinaigre. — Mais c’est quoi ça ? Jennifer subissait le même phénomène. Une épaisse flaque rose se formait en sortant de ses orifices. Cela semblait vivant. Je compris alors que c’était la chose qui enveloppait son cerveau, comme je l’avais vu. Mais pourquoi sortait-elle ? — Pour mieux te manger, mon enfant… me murmura une petite voix dans un recoin de ma tête. Je vis alors que chaque « flaque » semblait prendre de la consistance. Elle semblait gonfler, et était agitée de petites pulsations, comme un cœur. Et chaque flaque se divisait en deux. Mon cœur rata un battement. Une pour Max. Une pour moi. La peur me paralysait. Une masse de chair en pleine formation semblait se déplacer vers mon ami, qui gisait hagard sur le sol. Et une autre se déplaçait lentement vers moi. — Non… Incapable de fuir. Comme scotché au mur. Jennifer et sa collègue étaient conscientes. La brune releva légèrement la tête, des larmes dans les yeux. Jennifer, qui avait roulé sur le dos, poussa un gémissement. Elles semblaient incapables de se relever. Je n’allais tout de même pas rester planté là, à attendre que ce ...
... truc remonte le long de mon corps et ne s’empare de ma cervelle ! Mais que faire ? Tenter de tuer ces trucs, pour libérer les filles ? Mais les tuer comment ? Avec le marteau ? C’était quoi déjà, la chanson ?Si j’avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit… Un rire hystérique et caquetant s’échappa de mes lèvres. J’allais perdre la tête si je restai là, à observer ces extra-terrestres. — Bordel de merde ! hurlai-je en m’élançant sur l’une des masses de chair. Comme un gosse surexcité, je sautai à pieds joints dans le but d’écraser l’une de ses choses de mes pieds nus, mais à ce moment-là, l’autre masse rose décolla littéralement du sol, et ce à une vitesse prodigieuse. Avant que je comprenne comment, je la pris en pleine face et fus expulsé en arrière. C’était chaud, et humide, et ça puait le vinaigre. Une vraie infection. Écroulé sur le sol, je m’emparai de la chose, de mes deux mains, et tentai de la dégager de mon visage. Elle m’étouffait et je sentis alors qu’elle coulait, comme si elle fondait, et elle coulait dans mes narines. — NON !!! Elle allait s’emparer de moi. J’entendis Max se mettre à hurler, cris riches de souffrance et d’angoisse. — Max ! Non ! Non ! Je tentai de saisir la créature, mais sa matière était inconsistante et me glissait entre les doigts. Soudain, une brûlure dans mes narines. Une brûlure insoutenable, comme si on m’enfonçait une mèche brûlante dans le nez. — Non ! Non !!! Mais c’était trop tard. D’un coup, ce fut le noir. Puis, ce ...