Concours de circonstances
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
portrait,
... d’ancien cavalier, les pieds en canard, le minou entrouvert et le visage exprimant la lubricité de la grosse cochonne qui en veut pour son argent ( enfin, je crois, car, je n’en avais jamais rencontré, de grosse cochonne ! ). Je n’eus pas le temps de me lever qu’elle me chevaucha en s’enfilant sur mon pénis érigé vers le plafond. Cela faisait une grosse minute que Marie-France jouait à l’ascenseur sur mon membre, en m’écrabouillant les testicules coincés entre mes cuisses. — Halte au feu, ma poule, on change de position car j’ai les roubignoles en marmelade ; je suggère une bonne vieille prise en levrette si tu n’y vois pas d’inconvénient ! Elle n’était pas contre du tout, d’autant que le Brandy avait eu sur elle des vertus diurétiques et qu’elle avait subitement une envie pressante. Je dus quand même négocier fermement pour qu’elle accepte de faire son gros pipi debout au-dessus de la cuvette, la porte des w-c ouverte… Je lui exprimai toute ma gratitude de m’avoir offert ce spectacle, si confidentiel, tout en lui passant une lingette humide sur le minou. La deuxième lingette s’égara rapidement sur un orifice plus petit. Marie-France rigola car la lingette froide la chatouillait. Bien qu’une de ses amies, assez libérée, lui aie conseillé d’essayer au moins une fois, Marie-France avoua n’avoir aucune expérience de sexualité, dans cette zone peu reluisante de l’anatomie humaine. Moi aussi, j’avouais n’avoir qu’une connaissance théorique sur ce chapitre… Il fut donc décidé ...
... de faire un essai, par pure curiosité réciproque. Dés que l’un des deux en exprimerait le désir, il y aurait immédiatement cessation des activités. Curieusement, Marie-France s’enferma, pour faire une toilette intime plus poussée et elle m’envoya à la recherche d’un lubrifiant. Le buste posé sur l’accoudoir d’un fauteuil en cuir, la croupe ouverte, les jambes bien cambrées, ma partenaire se laissait enduire l’anus de gelée de pommes, sortie du réfrigérateur (à la guerre comme à la guerre…j’allais quand même pas utiliser la margarine aux Omega 3). Je pris toutes les précautions possibles : pénétration lente, en douceur, très respectueux de ma partenaire ; mais j’étais vraiment néophyte et le trou du cul de la normande refusait obstinément de se dilater. Bref, elle avait un peu mal et moi je n’avais enfilé que cinq centimètres de pénis. Cet échec total et réciproque ne nous traumatisa pas outre mesure. Comme Marie-France ne voulait pas tâcher sa chemise de nuit avec la gelée de pommes qui dégoulinait de ses fesses, elle resta en position et me demanda de l’éponger avec un essuie-tout en papier. C ’est pendant cet exercice insolite qu’elle releva légèrement la tête et me posa une question inattendue : — Comment est-ce que je peux faire pour prouver à mon mari, à notre retour en Normandie, que je me suis vengée et que je l’ai fait cocu ? Lui, il ne me croira jamais, il est si persuadé que je suis une conne insignifiante et soumise ! Ma réponse fut spontanée car, je venais de ...