Concours de circonstances
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
portrait,
... découvrir, en finissant mon nettoyage, à l’intérieur de la fesse droite, la présence d’une tâche de naissance, en forme de botte d’Italie. — Si tu lui montres la photo de ta croupe avec ton minou béant et ton trou du cul dilaté, avec l’authenticité de ta tâche de naissance en plus…il ne pourra plus avoir de doute !!! L’idée lui sembla géniale. Alors que le flash de l’appareil numérique illuminait le cul normand plusieurs fois, Marie-France ne cacha pas sa jubilation à l’idée de voir la tête de son mari, le lendemain. Elle attendrait qu’il se connecte à Eurosport, bien installé dans son fauteuil et, elle lui présenterait les clichés. Du coup, elle me demanda, pour achever le pauvre homme, une prise de vue plus acrobatique. Debout, les bras tendus au-dessus de la tête, les mains agrippés au Canon, le viseur LCD orienté vers moi, j’essayais de cadrer Madame. Elle était agenouillée sur un coussin, venait de me débarrasser de mon préservatif. Une de ses mains empoignait la naissance de mon membre et le reste de ma queue avait disparu dans sa bouche. Le visage tourné vers la caméra, elle attendait, radieuse, l’éclair du flash. Je doublais le cliché, pour être sûr. Exaltée à l’idée de voir la tronche de son époux le lendemain soir, elle en oublia presque de me demander de protéger mon pénis en érection terminale. Le bref échange verbal et médical qui s’en suivit fut convaincant pour les deux protagonistes car, Marie-France me permit de conclure sans silicone ; elle préférait, ...
... moi aussi. Affalée dans le fauteuil qu’elle avait orienté face aux flammes encore vives du feu de bois, les jambes béantes, posées sur les accoudoirs, elle attendait l’assaut final avec fébrilité. Bien fléchi sur mes jambes, les mains accrochées à ses gros nichons, je la pénétrais en douceur et commençais à limer la normande, tout en puissance et retenue, la classe quoi ! Marie-France semblait apprécier, elle dodelinait de la tête, souriante, les yeux fermés, occupant une de ses petites mains potelées à cajoler son clitoris lâchement abandonné. Puis ce fut la grosse humiliation de ma vie : certainement à cause du carrelage froid sur lequel reposaient mes pieds trop sensibles, un long pet aigu m’échappa totalement. La honte, le déshonneur, la dégradation de mon être. Ma partenaire, très bien élevée, fit comme si de rien n’était et me demanda juste d’accélérer la cadence. Elle poussa une série de petits gloussements puis un râle sauvage qui précéda la fuite éperdue des quelques milliers de spermatozoïdes. Juste pour goûter, Marie-France passa un coup de langue sur ma queue gluante et trouva çà franchement dégueulasse. Avant de pénétrer dans la salle de bains, que je lui avais laissé en priorité, elle pénétra sur la pointe des pieds dans sa chambre, fit un magnifique doigt d’honneur à son mari qui dormait paisiblement et me ramena sa petite culotte léopard que je voulais garder, disons pour convenance personnelle… Au petit matin, dans mon bureau fermé à clef, comme promis à ...