Concours de circonstances
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
portrait,
... conne, un peu éméchée, motivée par un désir de vengeance, avec en outre des nichons de compétition, c’était l’occasion à ne pas rater ! J’allais pour la première fois tromper mon épouse, sans état d’âme, bien décidé à réaliser quelques vieux fantasmes… Alors, très calmement, je me suis débarrassé de tous mes vêtements mais, en ôtant mes baskets, je me suis rendu compte avoir fait une connerie, le carrelage était gelé. Marie-France me détaillait, de haut en bas, sans aucune honte. Elle ne se retourna vers les flammes que quand je fus tout proche. Un gros bisou humide dans le cou, mon membre bien collé entre ses fesses que je sentais fermes sous le satin glissant, j’entrepris de baisser les bretelles de la chemise de nuit. Aucune protestation, juste ses mains qui retinrent le vêtement au niveau des hanches. La tête en arrière, les yeux fermés, mon invitée subissait en souriant les assauts du mâle qui, par derrière, scotché contre ses fesses, avait passé les bras sous ses aisselles pour empoigner ses seins à pleines mains. Elle me les laissa pétrir à ma guise, poussant juste quelques rires discrets de satisfaction. C’était moelleux à souhait et une main suffisait à peine à emprisonner complètement la mamelle. Je me goinfrais de chair malléable et élastique, mélangeant longuement les caresses manuelles et les dégustations buccales. Marie-France trouva certainement que je négligeais une partie de son corps tout aussi impatiente de caresses sensuelles car elle abandonna le ...
... maintien de sa chemise de nuit pour guider ma main droite vers son entrejambe mystérieux. Comme ma position n’était pas très pratique et que, surtout j’avais toujours les pieds transis de froid, je résolus de m’asseoir entre ses jambes sur le tissu satiné qui jonchait le sol. Elle poussa un petit cri de surprise approbatrice et en profita pour écarter largement les jambes tout en baissant légèrement le buste. J’étais donc aux premières loges, avec vue panoramique sur le minou de ma partenaire. Le pubis était une colline bombée, abondamment garnie de longs poils frisés, d’un roux lumineux, qui avaient réussi à encercler aussi les crêtes roses de la fissure féminine. La coquine avait certainement prémédité son coup car un parfum discret de chèvrefeuille embaumait son intimité. Ma langue vagabondait du clitoris jusqu’à l’intérieur de sa fente trempée, accompagnée de petits râles de contentement de la normande. Mes pieds, épanouis en éventail vers les flammes reprirent enfin des couleurs. Comme notre complicité semblait parfaite, j’osais solliciter la participation active de Marie-France en guidant sa main vers mon pénis qui somnolait paisiblement. Comme sa petite main potelée, à bout de course, éprouvait des difficultés à emprisonner mon membre, elle fléchit les jambes et s’inclina vers l’avant pour satisfaire son bienfaiteur. Bien stabilisée par ses jambes arquées, sa croupe majestueuse s’ouvrit alors, juste à hauteur de mon visage. Spectacle grandiose s’il en fut ! Le sillon profond ...