Découverte du club échangiste - Histoires de Sexe

Découverte du club échangiste

... semblait ravie et se laissait faire sans prononcer une parole. — Tu vois, elle n’a pas qu’un beau cul, elle a aussi une belle chatte !— Ouais, avec un clito bien développé ! On le voit bien, là. Elle se taille la touffe, non ? J’ai la gaule, tu sais… Tu crois qu’on peut voir son cul et sa moule par derrière ? Sans hésiter, le dénommé Jacques fit faire un demi-tour à sa femme qui semblait prendre plaisir à être complètement soumise. Elle se pencha en avant, cambrant bien les reins, offrant ses fesses. D’un geste, il releva sa robe légère jusqu’à la taille. Elle étalait avec complaisance ses hanches bien dessinées et son cul somptueux. Malgré la lumière discrète, j’avais une vue imprenable sur l’intimité de la dénommée Magali. Elle avait écarté les jambes juste ce qu’il fallait pour le spectacle. On voyait nettement les deux côtés renflés et garnis de poils frisés courts de sa chatte. Au milieu, les lèvres de sa fente s’ouvraient sur un clitoris assez large, et au-dessus la couture de son sexe qui se terminait entre les deux pommes de ses fesses par l’œil foncé de son anus. Je me mis à bander très fort. — Superbe, Jacques, superbe ! Je bande comme un cerf ! dit Gérard.— Tu ne peux pas rester dans cet état ; tu veux la sauter ?— Jacques, baiser ta femme maintenant, là, devant toi ?— Justement ! On est là pour ça, non ? J’adore voir qu’un mec la saute, j’aime qu’elle se fasse bourrer la chatte par d’autres queues que la mienne. Viens, Gérard. Tiens, je t’offre son cul !— ...

... C’est un peu tôt, tu ne crois pas ? Tout à l’heure, elle aura plein de mecs ; si tu veux, garde-la pour eux.— Non, non. Au contraire, il faut qu’elle soit bien chaude pour tout à l’heure : rien de tel qu’une bonne levrette au bar pour la mettre en condition. Elle mouille déjà : regarde comme c’est bien lubrifié ! Et le mari, écartant les deux fesses, plongea deux doigts entre les lèvres de la moule offerte. Magali gémit sous l’introduction et ouvrit le compas de ses jambes. — OK, j’arrive ! Gérard fit le tour du bar après avoir rapidement ôté son pantalon. Il bandait effectivement de fort belle façon et présentait un sexe de très fortes dimensions. — Putain, tu bandes bien ! Tu vas voir, chérie, il en a une grosse. Il va bien te ramoner la cramouille. Tu aimes quand c’est une grosse, hein ?— Oh oui ! approuva-t-elle d’une voix mouillée. Le patron ouvrit l’entrée du vagin, et d’un seul élan fit entrer son sexe jusqu’aux testicules. Puis il se mit à limer en cadence. Bientôt, Magali gémit sans pratiquement discontinuer. — Il te baise hein ? Tu aimes ça, salope, hein ? Ce qu’il te faudrait maintenant, c’est que tu sois aussi emmanchée de l’autre côté. Prise entre deux queues, quoi. Une bonne bite à sucer, hein, tu en veux ?— Oui, chéri ; une queue dans ma bouche. Je veux la tienne, Jacques chéri. Donne ta bite !— Pas question ! Je veux te voir prise en sandwich par deux salauds qui profitent de ton corps. Tiens, jeune homme, ça vous dit de vous faire sucer ? Je sursautai sous ...