Découverte du club échangiste
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
grp,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
grossexe,
boitenuit,
noculotte,
Partouze / Groupe
init,
... l’interpellation du mari. J’étais tellement pris par la scène que j’avais un peu perdu la notion de ce qui était autour de moi, et je m’aperçus que j’étais resté seul au bar avec le trio. Je bandais, et l’invite était claire. Je sortis prestement ma verge et je vins la présenter à la dame qui, sans hésiter, la prit d’une main pour l’engloutir entre ses lèvres la seconde d’après. C’était bon ! Elle se mit alors à me tailler une pipe en réglant son rythme sur celui qui lui était imprimé par les coups de queue du patron. Elle suçait bien. Sa langue jouait avec mon gland et ses lèvres s’activaient sur les endroits les plus sensibles de sa base. Je commençais à être vraiment chaud lorsqu’elle me lâcha pour redresser la tête. Elle gémissait plus fort et frottait ses fesses contre celui qui la baisait. Elle hochait la tête de droite et de gauche, et d’un coup se mit à crier sur un ton presque plaintif : — Oh, je jouis, je jouiiiiis ! Quand elle eut terminé son orgasme, elle se dégagea sans se préoccuper de son baiseur qui se retrouva flamberge au vent et n’eut d’autre solution que de retourner derrière son bar. De son côté, elle alla embrasser son mari à pleine bouche. — Merci, mon chéri ! Tu m’as fait jouir divinement, tu sais. Je me rajustai. Elle continuait ses baisers, et son mari fourrageait sous sa robe au niveau de la chatte qui devait être trempée. Elle-même se lança dans une fouille de la braguette de son compagnon. — Tu bandes, hein, mon chéri ; ça te plaît de me voir ...
... prise entre deux queues ? Tu voudras m’en donner d’autres ? Tu aimes quand je jouis sur leurs bites, hein ? Le reste ne me concernait plus, c’était leur affaire de couple. Ils avaient pris ce dont ils avaient besoin et s’étaient repliés provisoirement sur eux-mêmes. Peut-être en avaient-ils pour la soirée, peut-être iraient-ils recharger leurs fantasmes avec d’autres personnes avant de partir. Après ce hors d’œuvre, je cherchai mes amis. Je m’aperçus que de nombreux couples étaient arrivés et avaient investi les banquettes, le bar et la piste de danse. Béatrice était avec son mari à l’autre bout du comptoir, en grande conversation avec un autre couple. Marlène dansait avec le maigrichon qui était arrivé après nous. Quant à Christine, elle était au centre d’un groupe de quatre ou cinq hommes qui semblaient prêts à tout pour la séduire. Me voyant la regarder, elle sortit du cercle en s’excusant et vint se pendre à mon cou. — Alors, c’était bien ? Elle t’a fait jouir ?— Bof, pas terrible… Non, je n’ai pas joui, le patron non plus. Enfin, je ne pense pas. On a juste servi d’instruments. Le patron doit bien les connaître et joue le jeu pour la chauffer ; ça doit la libérer. Ce que j’ai compris, c’est qu’elle aime que son mari l’offre à d’autres mecs, et qu’il parle d’elle avec des mots crus pour l’aider à prendre son pied. Je comprends que ça la fasse jouir ; je comprends même que ça excite le mari de la voir se faire baiser. Ce que je comprends moins, c’est qu’ils ne partagent rien ...