Georges
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
uniforme,
amour,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
historique,
amourdram,
... finesse en comparaison de ses hanches larges (**). Soudain elle l’aperçut. Son sourire et ses yeux s’agrandirent de surprise et de joie dans un même mouvement synchrone. Elle dit une parole à l’artiste-peintre et le laissa choir aussi sec pour se diriger vers son soupirant. La voir fendre la foule avec légèreté fut pour lui un moment de grâce comme il en avait rarement eu. Arrivé à son niveau ils s’embrassèrent, leurs langues se cherchèrent, se trouvèrent et se saluèrent un long moment pendant que leurs corps se serraient l’un contre l’autre afin de ne pouvoir faire plus qu’un. Il se sentait idiot, imaginer qu’elle puisse aller avec un autre, alors qu’elle était à lui, rien qu’à lui, enfin presque ! Quand ils se séparèrent, elle le regarda avec joie et le serra une nouvelle fois dans ses bras tout en posant sa tête sur son épaule. — Pourquoi as-tu mis tant de temps pour venir ? susurra-t-elle tout en lui mordillant le lobe de son oreille.— J’ai été retenu par mon capitaine à la caserne, fut la seule réponse qu’il trouva alors qu’il embrassait son cou et qu’il réprimait les frissons qui traversaient son corps et qui avaient pour origine cette bouche gourmande qui n’en finissait pas de lui titiller son appareil auditif.— Tu diras à ton général que je lui en veux, j’ai été obligée de me coltiner le peintre là-bas, soupira-t-elle. Le dit peintre les regardait tout penaud un verre à la main. Georges ne se sentait aucunement coupable envers lui.— Il n’est pas général, mais ...
... capitaine, réussit-il à déglutir alors qu’une main, dont il se doutait l’appartenance, lui effleura son sexe douloureusement comprimé dans son uniforme. Elle se sépara de lui et le regarda droit dans les yeux, furieuse, son regard l’inquiéta, seule consolation : sa main flattait toujours son entrejambe. Mais je me moque de « ton général » ! éclata-t-elle, il sentit bien les guillemets dans son intonation. Je te veux à moi, rien qu’à moi. Elle se fit plus chatte et l’embrassa avec fougue. La lune, en passant par le velux, éclairait le grand lit qui trônait dans la minuscule chambre de bonne. Georges profitait de cette clarté pour admirer une nouvelle fois ce corps qu’il ne se lassait pas de caresser. Sa bouche s’attaqua aux seins blancs qui semblaient l’appeler, cette initiative fut approuvée par un soupir de contentement. Encouragé par cet assentiment, sa main droite se fit un devoir de caresser les hanches et les cuisses de sa compagne. Celle-ci souleva son sein à la manière d’une mère donnant le lait à son enfant, son autre main caressant les cheveux de Georges. Petit à petit, il commença à embrasser ce corps qui le rendait fou, tout en descendant de plus en plus vers ce puits qui était source de mystère et de plaisir en même temps. Il mordilla les poils pubiens en tirant doucement jusqu’à ce qu’ils s’échappent de ses dents, mais il se lassa vite de ce jeu pour partir à la découverte de ces lèvres si douces, sa langue se chargea de dégager le chemin jusqu’au clitoris qu’il goba et ...