Georges
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
uniforme,
amour,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
historique,
amourdram,
... suça comme un bonbon sucré. Le halètement de sa maîtresse se faisait plus rapide. Elle tenait le montant du lit, écartait ses jambes au maximum tout en soulevant son bassin afin que son sexe soit le plus offert possible à cette caresse buccale. Georges envoya bientôt deux doigts explorer cette grotte sombre et humide, objet de toutes ses convoitises; à cette intrusion elle ne put retenir un gémissement de plaisir. Sûr de sa victoire, il agaça de plus belle le bouton d’amour, tandis qu’un troisième doigt venait rejoindre les deux premiers et accentua la pénétration. Les gémissements firent place à des cris plus en plus aiguës, la mâchoire se soudant l’une à l’autre, tandis que le corps se soulevait pour former un pont dont les points d’ancrage étaient la tête et les jambes. Soudain, alors que Georges pensait que la colonne vertébrale de sa compagne allait se briser, elle lâcha un râle de jouissance et se laissa retomber sur le lit, anéantie par le plaisir. À la clarté de la lune il la regarda, affalée, reprenant son souffle dans un capharnaüm composé de draps et d’oreillers. Qu’elle est belle après l’amour ! Il s’allongea auprès d’elle et elle se lova contre son torse. — J’adore ta moustache quand tu me lèches, ça irrite mon clitoris et ça fait un bien fou.— Content qu’elle te fasse plaisir, mon amour. Sa fine moustache était le symbole de sa réussite, de la fin du cycle misérable de sa famille. Son arrière-arrière-grand-père était un canut venu à Paris après la révolte de ...
... 34, de la soie il était passé à la peau, depuis, de père en fils on était tanneur. Étant le deuxième, il n’avait pas hérité de cet emploi et il en avait profité pour s’engager dans l’armée au grand dam de son père qui y voyait une trahison envers cet ancêtre qui s’était battu contre l’armée du roi. Mais son choix était fait et il n’était pas revenu en arrière. Depuis, il s’était hissé à la force du poignet à ce grade de lieutenant. Seule ombre au tableau son capitaine qui, lui, venait d’une longue lignée de militaires, mais qui était aussi imbu de sa personne qu’incompétent et qui voyait d’un très mauvais œil ce cul-terreux, comme il disait, monter si vite et si haut dans la hiérarchie alors que lui-même était resté au même grade depuis sa sortie de l’école militaire. Il ne manquait pas de lui mener la vie dure à lui et à ses hommes. Heureusement pour lui, ils l’adoraient et se pliaient en quatre pour que tous les exercices fussent fait en temps et en heure. Mais même cela ne suffisait pas et le capitaine voyait toujours à y redire. Alors, du soldat 1ère classe à lui-même une franche camaraderie et une confiance aveugle s’étaient instaurées ce qui faisait de sa section la meilleure du régiment au grand dam du capitaine qui lui en voulait encore plus de cette réussite, c’était un cycle infernal et il ne savait pas du tout comment il allait pouvoir s’en sortir. Ce fut une sensation chaude et humide au niveau de son sexe qui le fit sortir de ses réflexions. Elle se faisait un ...